Le plus grand mal de la société, et la plus grande manipulation de masse transgénérationnelle est le sentiment de possession.
Il paraît que Dieu lui même aurait accordé un territoire à un peuple élu.
De quel droit nous approprions nous une terre? Et interdisons-nous à un inconnu d'y pénétrer?
Nous possédons terres, bétails, denrées, richesses cumulées, jusqu'à même l'eau.
Mais rien n'appartient à personne sauf à la Terre.
Cette possession à créé le commerce, le possédant vendant au démuni, puis a engendré la richesse et la pauvreté, l'injustice et l'inégalité.

Tous les peuples "primitifs, naturels et sauvages" vivent en communauté, et en ce sens, dans la solidarité le partage et la fraternité. Celui qui recueille plus de richesse le partage à ceux qui en ont moins, et ces peuples n'évoluent pas.
Nous évoluons et parlons de "progrès" mais ces ethnies d'indigènes n'ont-ils finalement pas trouvé l'équilibre nécessaire au bonheur ne les incitant pas à progresser?
Pourquoi faire évoluer une société si elle va bien?
Aujourd'hui poussent comme des champignons des communautés qui prônent le retour aux sources, la vie en accord avec la nature profonde, et la simplicité.
La possession dans sa toute puissance atteint son apogée dans un système bancaire nous permettant de posséder sans en avoir les moyens, de nous sentir propriétaire d'un bien qui nous rend esclave sur 20 ans. L'emprunt est l'esclave des temps moderne. La dette est le Dieu de la finance. La possession
est le rêve que nous n'avons pas décidé d'avoir.
Quel enfant de 3 ans rêve d'être propriétaire? Aucun. Ce rêve n'est qu'une illusion.
"Je veux avoir une belle maison, une voiture, une femme et des enfants".
Même l'amour devient possession. "Elle est à moi, et ce sont mes enfants".
L'être humain devenu esclave veut tout posséder et peut y arriver, avec un peu de chance il y parvient et se sent heureux.
La société nous convainc d'accumuler et nous culpabilise si nous ne le faisons pas, il faut penser à son avenir, à sa retraite, à l'héritage que nous laisserons aux générations futures.

Mais dans quel monde vit-on aujourd'hui? Un monde ou les frères et sœurs se battent pour un bout de territoire, et où les gouvernements défendent leurs frontières, ou l'ont arrivent jusqu'à coloniser d'autres planètes et espaces universels.

Je raconte, je dénonce, je constate, mais où sont les solutions?
Je ne revendique aucune appartenance à des groupes ou sociétés, communautés fermées ou exclusives. Mais j'œuvre pour la sortie du système, de l'industrie et de la possession.
Que ferons-nous de nos biens une fois décédé? Et qu’aurons-nous à faire de nos frontières?
Sortir du système oui mais pour en créer un nouveau. Faire de soi même un vecteur de bonheur et de fraternité, accepter de tout perdre, de partager, de relativiser.

Je suis un rêveur naïf et utopiste? Oui. Mais je suis réaliste. Oui je veux offrir un monde meilleur à ma descendance, mais un monde meilleur n'est pas un monde de possession, d'école de diplôme et d'esclavage des temps modernes ; un monde meilleur est un monde dans lequel on est heureux d'être pleinement soi même.

Oubliez la possession et retrouvez l'Etat: l'Etat d'Etre pleinement qui vous voulez être sans jouer de rôle, rôle qu'on vous a persuadé que vous avez choisi.

Nous œuvrons Johanne, Tal et moi en ce sens, retrouver son essence, sa quête et sa joie de vivre. Chacun est unique et la clé du bonheur n'ouvre pas tous les cœurs, il y a autant de clés qu'ils y a de gens sur Terre. Rien n'est acquis, rien n'est obtenu et rien n'est immuable.
Il n'est jamais trop tard pour se connaître et se découvrir, lâcher prise et accepter, changer et muer.

Contactez moi dès aujourd'hui si cela vous parle et que vous sentez dans votre fort intérieur qu'il vous "manque quelque chose" pour être heureux et nous le trouverons ensemble.

Gwen Clappe

LU DANS L EVEILLEUR QUANTIQUE

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