Manipulation

Une autre forme de manipulation

 Peut-être la plus inquiétante, concerne l’utilisation d’ondes électromagnétiques à des fréquences bien déterminées. Le cerveau humain, telle une antenne de réception, est très sensible aux ondes et ça, les groupes militaires qui travaillent pour le système le savent très bien. Ce n’est pas un hasard si le projet militaire top secret nommé Pandora concernait justement des études sur les effets des micro-ondes sur l’homme, dans le but de conditionner à distance les actions d’un individu ou de pousser à bout un prisonnier subissant un interrogatoire.

Des systèmes de communication neurologique sont en marche pour tenter d’annuler la pensée indépendante et de contrôler l’activité sociale et politique à l’avantage des sempiternels intérêts. Les preuves ne manquent pas et en effet, la « Signals Intelligence » (Renseignement d’origine électromagnétique) de la N.S.A. (National Security Agency, l’agence gouvernementale pour la sécurité nationale) effectue aujourd’hui la surveillance des cerveaux humains en codifiant le potentiel émis par le cerveau (3,50 Hz à 5 milliwatt). Est-il possible, de l’extérieur, à l’aide de fréquences ciblées, d’induire des individus ou des groupes d’individus à agir contre leurs propres convictions et intérêts ? La réponse, vous la trouverez dans ce livre, et elle ne sera pas très agréable.

Quand nous serons tous connectés à des serveurs à travers l’utilisation de puces électroniques sous-cutanées – déjà en cours de réalisation dans de nombreux pays européens –, il sera peut-être trop tard. Rappelons, en outre, que ces puces contiendront toutes nos données biométriques (poids, taille, couleur des yeux, empreintes digitales et bientôt aussi l’ADN, etc.), notre carte d’identité, notre carte vitale (avec toutes nos maladies depuis notre enfance, nos allergies, nos intolérances, les interventions subies, etc.) et, pour terminer en beauté, notre compte bancaire !

Tous les flux bancaires, les transferts d’argent, seront effectués sous forme électronique si nous n’en prenons pas conscience et ne l’empêchons pas avant. Les billets feront place à l’argent virtuel, et c’est alors que la plus grande forme de contrôle que l’humanité ait jamais connue, sera réalisée : il sera en effet possible de bloquer à n’importe quel moment la vie d’un individu ou d’un groupe social gênant. Les flux monétaires mondiaux sont déjà gérés aujourd’hui par des oligarchies, c’est-à-dire par des banquiers internationaux (le fameux « système ») qui contrôlent les banques centrales, les institutions financières de la planète et tous les grands groupes de l’agroalimentaire, du secteur pharmaceutique, de l’énergie, des télécommunications, du divertissement, etc.

Ces messieurs, tous membres de loges maçonniques occultes et de groupes élitaires comme le club Bilderberg, la commission Trilatérale, le Council on Foreign Relations ou CFR (« Conseil des relations étrangères »), le Royal Institute of International Affairs ou R.I.I.A (« Institut royal pour les affaires internationales »), etc., à travers les organisations supranationales comme l’Organisation mondiale du commerce, l’Organisation mondiale de la santé, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale, etc., sont en train de mettre en pratique les politiques mondialistes dont nous venons de parler, pour la domination de l’homme sur l’homme ou, plus exactement, de l’homme sur l’ADN.

Les organismes génétiquement modifiés (les OGM) rentrent de plein droit dans une telle opération ! Personne n’en veut (70 % des consommateurs ont dit non), et malgré tout, les groupes industriels, Monsanto (Pharmacia, aujourd’hui Pfizer) en tête, dépensent des milliards de dollars, sponsorisent la politique, pour nous les faire mettre sur notre table. Pourquoi ? Comment est-il possible qu’une entreprise – dont le chiffre d’affaires dépend de ses propres consommateurs – aille contre les intérêts de ces derniers ? Mais c’est très simple ! Des recherches britanniques, réalisées il y a quelques années, ont démontré, paraît-il, que les OGM affectent des organes comme le foie, les poumons, le cerveau et… notre ADN !

Le hasard veut que l’épigénétique ait démontré, depuis environ dix ans et contrairement à ce qu’a toujours affirmé la génétique classique, que « nous ne sommes pas nos gènes », c’est-à-dire que l’environnement extérieur, y compris nos pensées et nos émotions, est capable de modifier nos gènes et notre ADN.                              .
Voilà une révolution copernicienne qui tombe à pic dans le contexte de cet essai, car, si l’environnement extérieur est important au point de modifier la chaîne de la vie, cela signifie que les stratégies mises en œuvre par le système – le contrôle mental étant l’un de ses instruments – ont pour cible l’ADN lui-même. Nous possédons toutefois les instruments pour riposter à une telle ingérence.

Commençons donc à « raisonner jusqu’à la limite du possible », en changeant surtout notre « façon de penser ». Éteignons notre téléviseur et évitons les canaux officiels d’information (papier imprimé), de propriété des multinationales qui instillent dans l’âme humaine la peur avec leurs nouvelles terroristes et leurs bulletins de guerre. Alimentons-nous de façon saine et complète, à base d’aliments vivants et non morts comme les produits industriels, vu que

« nous sommes faits de ce que nous mangeons », et enfin, ne sous-estimons pas l’importance de l’aspect émotionnel : tout excès, quel qu’il soit (colère, peur, etc.), crée toujours un déséquilibre, et un déséquilibre prépare le terrain biologique aux attaques (virus, bactéries, messages, ondes hertziennes, etc.).

MARCO DELLA LUNA et PAOLO CIONI (NEURO-ESCLAVES Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse).

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Date de dernière mise à jour : 06/08/2019

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