DEVRAIT ETRE MEDITEE PLUTOT QUE LUE - 5

CHRIST REVIENT – IL DIT SA VERITE - LETTRE 2 – 5

J’aimerais que vous, lecteur qui lisez ces pages, compreniez bien ma position à cette époque-là, mon état de conscience après mon illumination dans le désert et le personnage que je présentais à mes concitoyens en tant que « Jésus ». Il s’est dit tant de choses à mon sujet que je me dois de vous présenter la vérité.

J’étais né pour avoir, à l’âge adulte, une excellente condition physique, des traits forts et aquilins, un intellect remarquable et l’amour du rire et de la mimique – mais, comme beaucoup d’entre vous aujourd’hui, je ne faisais pas cas de mes aptitudes terrestres. Au moment d’aller dans le désert, mon visage et mes manières étaient comme vous diriez aujourd’hui atrophiés par rapport à ce qu’ils auraient dû être. Pendant que je commençais à examiner et à me rebeller contre ce que j’étais devenu, mon intellect avait lui aussi souffert du mauvais usage que j’en faisais en m’engageant constamment dans des disputes et des dissensions au sujet de la religion et en me permettant de discourir avec désinvolture. Je faisais rire les gens. Les hommes et les femmes que je côtoyais m’aimaient, mais ne me respectaient certainement pas. D’où l’étonnement de ceux qui me connaissaient lorsque je leur parlai dans la synagogue à Nazareth.

Pendant que ma mère me soignait pour me remettre en bon état, j’utilisai puissamment la connaissance et l’illumination que j’avais reçues dans le désert. Cela restaura l’homme que j’étais destiné à être.

Lorsque je commençai ma mission, j’étais tout à fait conscient que j’étais le seul à posséder la connaissance suprême de la création et de l’existence elle-même. Par conséquent, je pouvais dire avec une parfaite confiance : « Personne d’autre n’a vu le « Père » que moi. »

Je savais que tout ce que les hommes croyaient de tout leur cœur était faux – irréel.

Je savais que j’avais été spécialement modelé et conçu par le « Père » pour cette mission. J’avais été abondamment doté d’énergie physique, de vitalité dans mon discours et de la capacité d’imaginer des paraboles sensées pour me permettre de transmettre le message avec succès et sous une forme qui ne serait jamais oubliée.

Par ailleurs, vu notre longue association, je comprenais si bien mes compagnons que je connaissais leurs espoirs les plus fous, leurs craintes les plus désespérées, je savais ce qui les faisait rire et ce qui suscitait leurs moqueries et leur dérision au sujet des riches et des prétentieux et je savais aussi à quel point tant de gens, jeunes et vieux confondus, souffraient bravement en silence. Je savais et j’éprouvais une profonde compassion pour le peuple qui vivait dans la crainte – ou qui devait simplement supporter les coups de fouet verbaux des Pharisiens et courber l’échine devant les lois fiscales des Romains. Je savais comment leur fier esprit juif était meurtri par les païens, leurs vainqueurs, qu’ils étaient forcés d’honorer des lèvres, des mains et par des salutations à genoux, mais qu’ils méprisaient derrière les portes closes. Je savais et comprenais parfaitement la vie et les pensées des gens du peuple. J’avais autrefois pensé ce qu’ils pensaient, senti leur ressentiment, souffert leur anxiété dans les périodes de manque, je m’étais senti impuissant sous la poigne de la domination romaine.

Je savais maintenant qu’aucune de ces souffrances n’étaient vraiment nécessaire. Sachant, comme je le savais, la Réalité de l’existence, la Réalité du « Dieu » Universel, je pouvais clairement percevoir la folie des autorités juives qui imposaient au peuple une vie écrasante qui était totalement fausse et en contradiction directe avec la Vérité d’ Etre. Cette situation me mettait très en colère.

Par conséquent, je savais que j’avais été parfaitement façonné et aiguisé pour devenir un instrument purifié de l’Action Divine en Palestine – dirigé par ma passion pour la VERITE et par ma compassion pour mes frères humains. C’est pourquoi je me nommai le « Fils de l’homme », parce que je savais exactement ce que l’humanité se faisait à elle-même.

En outre, j’avais une confiance totale en mon pouvoir d’atteindre mes objectifs d’apporter la Vérité aux gens et de contribuer ainsi à changer leur qualité de vie. C’est pourquoi, bien que je susse très bien dès le début de ma mission qu’il y aurait une pénalité à payer pour tout ce que je me proposais de faire – mettre sens dessus dessous le monde juif connu – j’étais préparé à y faire face, à passer par là, je ne pouvais m’y soustraire parce que j’aimais les gens d’un AMOUR « Père » qui s’écoulait à travers mon cœur et mon être. Car l’AMOUR « Père » est l’essence du DON – se donnant Lui-même dans l’être visible et dans l’existence visible et dans la croissance, la protection, la nourriture, la guérison et la satisfaction de tous les besoins de toute création rendue visible.

Je savais que j’étais le don du « Père » au peuple – au monde – pour son salut –

NON

Comme ils le supposaient et le disaient depuis des siècles – le salut par la punition émis par un Dieu courroucé à l’encontre des pécheurs,

MAIS

Pour sauver les gens de la répétition quotidienne des mêmes erreurs d’une pensée erronée –

Une pensée fausse qui créait, leur maux, leur pauvreté, leurs maladies et leur misère.

Parce que j’aimais si profondément la race humaine, j’étais prêt à enseigner et à guérir malgré la défiance des prêtres juifs. J’étais prêt à mourir sur la croix pour ce que j’avais vraiment « vu » dans le désert, ce que je savais de tout mon cœur, et voulais transmettre jusqu’à la dernière goutte de ma capacité à le faire.

 

VOILA LA VERITE QUI GIT DERRIERE MA CRUCIFIXION ET TOUT LE RESTE DE CE QUE VOUS AVEZ ENTENDU, CE SONT DES INVENTIONS PROVENANT

DE LA PRATIQUE JUIVE DE BRULER DES OFFRANDES DANS LE TEMPLE.

 

J’étais un don du « Père » à l’humanité pour l’aider à surmonter son ignorance des Lois de l’Existence et à trouver le vrai Chemin de Vie qui menait à la joie, à l’abondance et à la parfaite intégrité du Royaume des Cieux.

Voilà quelles étaient les perceptions, les désirs, les intentions, les buts et les pensées que je portais dans mon esprit et dans mon cœur. C’était là la structure mentale-émotionnelle terrestre qui habillait ma conscience spirituelle cachée à l’intérieur de la tête et du personnage de « Jésus ».

C’était ma conscience spirituelle, canalisée dans les pensées et les sentiments ci-dessus, qui m’imposait de me mettre en route pour un cheminement de trois ans, afin d’apporter au peuple ce qui – je le croyais tout à fait – les sauverait définitivement de leur pensée et de leurs sentiments aveugles qui leur créaient une vie de tourments. Je pensais sincèrement que si l’on pouvait seulement montrer aux gens tout ce qu’il m’avait été donné de comprendre, ils réaliseraient leur folie d’autrefois et feraient tous les efforts possibles pour changer leur manière de penser et mettre le pied sur le Sentier de la Vie menant au Royaume des Cieux. A cette fin, j’étais prêt à donner ma vie.

A cause de la mauvaise interprétation qu’ont faite les enseignants juifs de ma mission, mon vrai message a été déformé jusqu’à devenir méconnaissable et le but de ces lettres est d’apporter aux gens de ce Nouvel Age la vérité de ce que j’ai vraiment dit aux foules en Palestine.

Par conséquent, pour en revenir à la narration de ces jours, permettez-moi de vous ramener à un jour particulier qui porta ses fruits parmi ceux qui m’écoutaient et laissa une impression durable dans les esprits de mes disciples.

D’ailleurs, ce fut également pour moi un jour particulièrement significatif.

Je m’éloignai un certain temps de la pression des gens pour aller dans les collines prier et méditer pour recharger mes batteries spirituelles en établissant un lien profond et plus puissant avec le « Père » en moi. Ce lien s’obscurcissait si rapidement dans ma conscience quand je m’occupais de la foule que j’étais épuisé. En arrivant dans la caverne que j’utilisais quand j’étais dans cette région, je retirai la paillasse cachée sous un rocher et me couchai pour dormir. Au lieu de m’endormir, cependant, je ressentis l’influx immédiat de la Vie Divine, le « Père », et la fatigue disparut alors que mon organisme se rechargeait de la Puissance qui est la Source Créatrice de Tout Etre.

Je m’élevai en conscience dans une lumière dorée et pendant que je m’élevais dans cette Lumière, Elle se transforma soudain en une blancheur des plus pures et je sus que, en conscience, j’étais maintenant arrivé aux portails de l’Equilibre, qui sont la dimension Eternelle, Universelle, infinie, dépassant toute conception de l’esprit humain.

J’observais la LUMIERE mais n’en faisais pas partie, de même qu’Elle n’était pas dans toute sa puissance en moi, puisque c’était la dimension « Dieu » du vide, l’incréé de l’Equilibre Universel.

Mais ELLE communiquait avec moi et m’infusait son AMOUR resplendissant. Elle imprima pourtant encore une fois en moi qu’Elle était le processus de Création-Perfection-Guérison,

L’AMOUR

Régissant toute l’existence.

Je sus que partout où régnait le besoin, il y aurait finalement assouvissement, tout comme les eaux s’écoulent pour remplir un lac.

Là où régnait la misère, il y aurait de la joie, parce que c’était la NATURE de l(Universel de s’écouler en toute chose vivante dans le besoin, pour lui apporter assouvissement et joie.

Je sus que là où il n’y avait pas de croissance, des circonstances surviendraient pour promouvoir la croissance.

Je sus que là où il avait un sentiment d’échec, des défis se présenteraient pour stimuler les gens à accéder au succès et à la confiance en eux.

Je « vis » que ce TRAVAIL D’AMOUR constamment recommencé par le « Père » dans la vie surchargée des gens pourrait ne pas être reconnu comme un « don d’AMOUR » par les récipiendaires. Il se pouvait qu’ils soient tellement enfoncés dans leur apathie, leurs sentiments d’échec et leur croyance que rien de bon ne pourrait jamais leur arriver, qu’ils n’arriveraient pas à voir quoi que ce soit dans la vie au-delà de leurs croyances et de leurs sentiments ! Et donc ils resteraient ancrés dans l’enfer qu’ils se créaient eux-mêmes

Il était inutile de se sentir désolé pour qui que se soit. La seule chose nécessaire était un cœur plein de compassion et la détermination de leur apporter la Vérité pour les guérir de leur ignorance.

Le plus grand cadeau que pouvait un homme à un autre était l’illumination qui le sortait de l’ignorance de l’existence et de ses lois cosmiques car, en VERITE :

Chaque âme individuelle était embrassée dans l’UNIVERSEL et le degré DE PENETRATION DE L’UNIVERSEL à travers le TRAVAIL D’AMOUR « Père » dans sa vie dépendait entièrement de la réceptivité de l’individu.

Je réalisai que ce que les gens avaient un besoin urgent d’entendre était ce qui venait de m’être dit.

Ils avaient besoin de « voir » et de réaliser pleinement l’intention, le but et le potentiel de l’AMOUR, qui était la substance même de leur être. A cause de leur incrédulité, ils allaient peut-être rejeter le TRAVAIL D’AMOUR « Père », qui représentait à leurs yeux des « défis douloureux » et donc s’immobiliser à jamais dans leur faillite.

Je vis maintenant encore plus clairement que j’avais été envoyé pour éveiller les gens à toutes les possibilités de développement personnel, de prospérité et de réalisation de la joie et du bonheur, mais que ce serait à eux de se réveiller et de profiter de ce qui leur était offert.

Je me souviens que cette élévation dura toute la nuit et que le matin suivant, je me levai en me sentant plus vivant que jamais. Mon message avait été clarifié.

J’avais vu encore plus clairement la Réalité du « Père » et je sus que je serais capable d’aller ce jour-là à la rencontre des foules et leur transmettre la puissance et la vie de ce qui m’avait été montré.

Alors que je redescendais de la caverne, j’arrivai à un grand rocher surplombant un grand précipice. Lorsque je m’assis, je pus voir tout en bas la ville que nous devions visiter ce jour-là.

Je pus sentir ce « Processus de Perfectionnement » - cette Impulsion de « Complétion » - le « Père » - me traverser et je ne désirai plus qu’une chose, le transmettre à d’autres avant que les problèmes de la vie quotidienne ne le et qu’il perde de sa puissance et de sa force impérieuse à l’intérieur de a conscience humaine.

DEMAIN LA SUITE DE LETTRE 2 - 6

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Date de dernière mise à jour : 27/10/2020

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