KOZYREV

KOZYREV : L’ETHER, LE TEMPS ET LA TORSION

Un extrait de notre “magnum opus” sur le pionnier du champ de torsion, le Dr Nikolai Kozyrev, s’est récemment retrouvé dans le magazine NEXUS, puis dans le blog du scientifique Sepp Hasselberger, que vous pouvez trouver en suivant ce lien (en anglais).

Kozyrev : L’éther, le Temps et la Torsion

Le scientifique russe Nikolai Kozyrev est un précurseur de bien des façons – le père des avancées actuelles visant à réinterpréter la physique, de façon à la concilier à la compréhension intuitive. Nos efforts visant à réconcilier les contradictions inhérentes au modèle standard de la physique, fermement basé sur la relativité d’Einstein et la mécanique quantique, ont amené des résultats plutôt satisfaisants.

Kozyrev avait mesuré les effets du champ de torsion ou de rotation, à une époque où la science occidentale était occupée à casser les atomes en des fractions toujours plus petites. Il a enquêté sur le temps et l’éther avant que la plupart des Occidentaux aient pensé à remettre en question l’exploitabilité de nos interprétations modernes du fonctionnement de l’univers.

David Wilcock s’est donné du mal pour élever notre conscience sur les incroyables travaux de Kozyrev, dans son livre Investigations sur le champ de conscience unitaire. Il l’introduit avec les mots suivants :

DES PREUVES SCIENTIFIQUES SPECTACULAIRES EXISTENT, DEPUIS AU MOINS LES ANNÉES 50, PORTANT SUR LE CONSTAT QUE LA MATIÈRE PHYSIQUE EST FORMÉE D’UN “ÉTHER” D’ÉNERGIE INVISIBLE ET CONSCIENTE. NIKOLAI A. KOZYREV (1908-1983), ASTROPHYSICIEN RUSSE DE RENOM, A PROUVÉ DE FAÇON INCONTESTABLE QU’UNE TELLE SOURCE D’ÉNERGIE DEVAIT FORCÉMENT EXISTER. PAR CONSÉQUENT, IL EST DEVENU UNE DES FIGURES HISTORIQUES LES PLUS CONTROVERSÉES DE LA COMMUNAUTÉ SCIENTIFIQUE RUSSE.

LES IMPRESSIONNANTES IMPLICATIONS DE SES TRAVAUX, ET DE TOUS CEUX QUI SUIVIRENT SES PAS, ONT ÉTÉ PRESQUE ENTIÈREMENT DISSIMULÉES PAR L’ANCIENNE UNION SOVIÉTIQUE. MAIS AVEC LA CHUTE DU RIDEAU DE FER, ET L’AVANCÉE D’INTERNET, NOUS AVONS ENFIN OBTENU L’ACCÈS AU “SECRET LE MIEUX GARDÉ DE RUSSIE.”

DEUX GÉNÉRATIONS DE RECHERCHES REMARQUABLES, EFFECTUÉES PAR DES MILLIERS DE SPÉCIALISTES DOCTORANTS, ONT ÉMERGÉ DES DÉCOUVERTES DE KOZYREV. ELLES ONT COMPLÈTEMENT TRANSFORMÉ NOTRE COMPRÉHENSION DE L’UNIVERS.

EN LE MENTIONNANT BEAUCOUP DANS CE LIVRE, NOUS ESPÉRONS ÉTABLIR SON IMPORTANCE HISTORIQUE PERMANENTE, AINSI QUE SON IMPACT SUR NOS COLLÈGUES ET LECTEURS.

Après avoir entendu parler de Kozyrev dans les années 90, j’ai à nouveau aperçu son nom dans une publication récente du magazine NEXUS. Une version épurée du chapitre du livre de David Wilcock y avait été publiée, sous le titre La Science de l’Ether de N. A. Kozyrev.

La science de l’éther du Dr N.A. Kozyrev

Par David Wilcock

Il existe des preuves spectaculaires que toute la matière physique est formée par un “éther” d’énergie consciente et invisible.

Nikolai A. Kozyrev (1908-1983), astrophysicien russe de renom, a prouvé, de façon incontestable, qu’une telle source d’énergie devait forcément exister. Par conséquent, il devint une des figures historiques les plus controversées de la communauté scientifique russe.

Les impressionnantes implications de son travail, et de tous ceux qui suivirent ses pas, ont été presque entièrement dissimulés par l’ancienne Union Soviétique. Mais avec la chute du rideau de fer, et l’avancée d’internet, nous avons enfin obtenu l’accès au “secret le mieux gardé de Russie.”

Deux générations de recherches remarquables, effectuées par des milliers de spécialistes doctorants, ont émergé des découvertes de Kozyrev. Elles ont complètement transformé notre compréhension de l’Univers.

Une matière énergétique invisible

L’existence de l’éther a été acceptée à grande échelle dans les cercles scientifiques jusqu’au début du 20ème siècle, sans remise en question, jusqu’à ce que l’expérience de Michelson-Morley de 1887 soit admise pour “prouver” qu’aucun champ de source énergétique invisible de la sorte n’existait.

Néanmoins, des percées plus récentes concernant la “matière noire”, “l’énergie noire”, les “particules virtuelles”, le “flux du vide” et “l’énergie du point-zéro”, pour ne nommer qu’elles, ont amené les réticents scientifiques russes à admettre le fait qu’il devait effectivement exister une matière énergétique invisible circulant à travers l’Univers. A partir du moment où vous utilisez un terme bénin tel que la “matière quantique”, à la place du mot interdit “éther”, vous pouvez en parler dans la presse mainstream sans avoir peur du ridicule.

Un exemple précoce qui prouve l’existence de l’éther vient du Dr Hal Puthoff, un physicien respecté. Il mentionne fréquemment des expériences du début du 20ème siècle, dirigées avant même que la théorie de la mécanique quantique n’existe. Elles étaient conçues pour voir s’il y avait de l’énergie dans “l’espace vide”.

Afin de tester son idée en laboratoire, il était nécessaire de créer une zone complètement vide d’air (un vide), et isolée de tout champ de radiation électromagnétique connu, par un bouclier de plomb. C’est ce qui est aujourd’hui connu sous le nom de cage Faraday. Cet espace vide d’air devait ensuite être refroidi jusqu’au degré zéro, ou -273° C. A cette température, toute matière cesse de vibrer, et ne produit donc pas de chaleur.

Plutôt que de démontrer une absence d’énergie dans ce vide, c’est expériences ont démontré qu’il y en avait une énorme quantité, provenant d’une source complètement non-électromagnétique !

Le Dr Puthoff a souvent surnommé ceci un “chaudron bouillant” d’énergie de très haute magnitude. Puisque l’ont peut encore retrouver cette énergie au degré zéro, cette force a été baptisée “énergie du point-zéro”, ou EPZ, alors que les scientifiques russes l’appellent habituellement le “vide physique”, ou VP.

Les docteurs John Wheeler et Richard Feynman, d’éminents physiciens du courant dominant, ont calculé que la quantité d’énergie du point-zéro dans le spatial contenue au sein d’une simple ampoule, est assez puissante pour porter tous les océans du monde à ébullition !

Il est clair qu’il ne s’agit pas d’une force faible et invisible, mais plutôt d’une source d’une puissance incroyablement grande. Celle-ci aurait plus qu’assez de force pour entretenir l’existence de toute matière physique.

De toutes les nouvelles perspectives de la science émergeant de la théorie de l’éther, les quatre champs de forces basiques, que ce soit la gravité, l’électromagnétisme, la force nucléaire faible ou la force nucléaire forte, sont simplement tous différentes formes de l’éther/EPZ.

Le professeur M. T. Daniels a trouvé que la densité de l’énergie gravitationnelle près de la surface de la Terre était égale à 5,74 x 1010 (t/m3) (n’oublions pas que, selon ce modèle, la gravité serait simplement une autre forme d’éther).

La découverte du professeur Daniels prouve que le fait d’attirer un bon 100 kilowatts de cette “énergie libre” à partir du champ gravitationnel, réduit la quantité d’énergie naturelle produite à cet endroit de 0,001 pourcent.

Les recherches menées par le Dr Nikola Tesla l’ont amené à affirmer, en 1891, que l’éther “se comporte tel un fluide dans les corps solides, et tel un solide dans la lumière et la chaleur”, et que l’on pourrait y accéder sous “un voltage et une fréquence suffisamment hautes” – ce qui était un indice montrant que l’énergie libre et les technologies anti-gravitationnelles sont possibles.

Faisons particulièrement attention à l’affirmation de Tesla selon laquelle l’éther a un effet similaire à celui d’un fluide lorsqu’il s’agit de corps solides, puisqu’elle est directement reliée aux travaux du Dr N.A. Kozyrev.

Repenser la matière

Pour être entièrement compris, les travaux et découvertes de Kozyrev requièrent certaines nouvelles analogies concernant la matière physique. Les travaux de Kozyrev nous forcent à visualiser tous les objets physiques de la matière dans l’Univers comme des éponges submergées dans l’eau. Dans cette analogie, nous devons prendre en compte le fait que les éponges sont restées dans l’eau pendant un certain temps, et qu’elles sont complètement saturées d’eau.

En gardant ceci à l’esprit, il y a deux choses que nous pouvons faire sous l’eau avec de telles éponges : nous pouvons diminuer le volume d’eau qu’elles contiennent, ou l’augmenter, par le biais de procédés mécaniques très simples.

  1. Diminution : en pressant, en refroidissant, ou en faisant tourner une éponge submergée et saturée, une partie de l’eau qu’elle contient sera libérée dans ses environs, ce qui diminuera sa masse. Si on laisse cette éponge tranquille, la pression sur les millions de minuscules spores se relâche, ce qui lui fait absorber de l’eau, et augmenter de volume, pour regagner sa masse initiale.
  2. Augmentation : Au stade de repos, on peut aussi injecter plus d’eau dans l’éponge, par exemple en la chauffant (en la faisant vibrer), ce qui fait que certains des pores se dilatent, afin d’absorber plus d’eau qu’ils ne peuvent absorber à la base. Dans ce cas, dès que l’on met fin à l’augmentation de la pression, l’éponge va naturellement relâcher son excès d’eau, et rétrécir pour retrouver sa masse initiale.

Bien que cela semblerait impossible pour la plupart des gens, Koryrev a montré qu’en secouant, en faisant tourner, en chauffant, en refroidissant, en faisant vibrer, ou en cassant des objets physiques, on peut augmenter ou diminuer leur poids, de façon subtile mais certaine. Et ce n’est qu’un maigre aspect de ses extraordinaires travaux.

Le parcours du Dr Kozyrev

Puisque le monde occidental en sait extrêmement peu au sujet de Kozyrev, quelques informations relatives à sa biographie et ses recherches sont de mise. Loin d’être un “savant fou” ou un “cinglé”, il était en fait considéré comme l’un des penseurs russes les plus prééminents du 20ème siècle. Kozyrev a fait publier son premier article scientifique à l’âge de dix-sept ans. D’autres scientifiques étaient fascinées par la profondeur et la clarté de sa logique.

Ses principaux travaux portaient sur l’astrophysique. Il étudiait les atmosphères du Soleil et d’autres étoiles, le phénomène des éclipses solaires, et l’équilibre radiatif. A vingt ans, il avait déjà obtenu son diplôme de l’Université de Leningrad, avec une maîtrise en physique et en mathématiques. A vingt-huit ans, il était connu à grande échelle comme un astronome distingué ayant enseigné dans plusieurs universités.

La vie abondante de Kozyrev prit un tournant particulièrement malheureux et difficile en 1936, quand il se fit arrêter à cause des lois répressives de Joseph Stalin. En 1937, il entama 11 années tortueuses, et endura toutes les horreurs connues d’un camp de concentration. Il y médita profondément sur les mystères de l’Univers, en faisant attention à tous les motifs existant dans la vie, dans laquelle tant d’organismes différents montrent des signes d’asymétrie et/ou de croissance en spirale.

A partir de ses observations éclairées, Kozyrev considéra qu’il était possible que toutes les formes de vie attirent une source d’énergie invisible au mouvement de spirale, en plus de leurs propriétés normales leur permettant de gagner de l’énergie en mangeant, en buvant, en respirant et en effectuant leur photosynthèse.

Kozyrev a émis l’hypothèse que c’est la direction de ce flux qui détermine des choses telles que la direction de la spirale de croissance d’une carapace de coquillage, et le côté du corps humain où le coeur se situe. S’il y avait une zone, quelque part dans l’espace-temps, où le flux énergétique s’élevait en spirale dans la direction opposée, alors les coquillages grandiraient dans le sens inverse, et le coeur se situerait de l’autre côté du corps.

Kozyrev suggéra que la vie ne pouvait se former différemment, parce qu’elle attire activement cette énergie s’élevant en spirale, afin de s’entretenir. Par conséquent, elle doit suivre ses proportions à chaque étape du chemin. Ainsi, nous pouvons considérer le système squelettique comme une “antenne” captant cette énergie.

En 1948, quand Kozyrev finit par se réinsérer hors du camp dont il était prisonnier, et put retrouver son domaine d’expertise, il fit de nombreuses prédictions par rapport à la Lune, à Vénus et à Mars. Elles furent validées par les sondes spatiales russes plus d’une décennie plus tard. Cela lui fit gagner la distinction d’avoir été un pionnier majeur de la course spatiale soviétique. En 1958, le Dr Kozyrev suscita à nouveau une polémique mondiale, lorsqu’il proclama qu’il y avait une activité volcanique dans le cratère Alphonsus de la Lune.

Le Dr Harold Urey, prix Nobel américain, faisait partie du groupuscule qui croyait que la théorie du Dr Kozyrev, liée à l’activité volcanique lunaire, était correcte. Il poussa la NASA à mener une enquête. Par conséquent, la NASA lança l’énorme projet Moon Blink. Ce projet confirma plus tard les affirmations du Dr Kozyrev, lorsqu’il permit de trouver des émissions de gaz significatives sur la Lune.

Néanmoins, tous les travaux de Kozyrev n’ont pas tous été assimilés de façon aussi immédiate dans le monde de la NASA.

La science du temps

Durant l’hiver 1951-52, le Dr Kozyrev entama son incursion dans le monde de la physique exotique, avec le premier d’une longue série de 33 ans d’expériences très intrigantes et controversées. Comme nous l’avons vu, dans la nature, les motifs d’énergie s’élevant en spirale se sont révélés aux yeux initiés du Dr Kozyrev, alors qu’il était dans le camp de concentration. Sa “connaissance directe” l’informa du fait que l’énergie qui s’élève en spirale était en fait la vraie nature et manifestation du “temps”.

Evidemment, il ressentait que le “temps”, tel que nous le connaissons maintenant, est bien plus qu’une simple fonction basique servant à estimer une durée. Kozyrev nous pousse à essayer de penser à une raison justifiant le temps. C’est-à-dire, quelque chose de tangible et d’identifiable dans l’Univers, que nous pouvons associer au temps.

Après une bonne réflexion, nous voyons que le temps n’est, au bout du compte, rien d’autre qu’un mouvement pur, en forme de spirale. Nous savons que nous traçons un motif complexe en forme de spirale à travers l’espace, grâce aux schémas d’orbite de la Terre et du système solaire.

A présent, l’Université d’Etat de Moscou et la Fondation Humanitaire Russe, inspirés par les travaux novateurs du Dr Kozyrev, enquêtent activement sur la “temporologie”, ou science du temps. Sur leur site internet, ils affirment :

“SELON NOTRE COMPRÉHENSION, LA ‘NATURE’ DU TEMPS EST LE MÉCANISME [QUI ENTRAÎNE] LES CHANGEMENTS VISIBLES ET LES NOUVEAUTÉS DANS LE MONDE. COMPRENDRE LA ‘NATURE’ DU TEMPS, C’EST TENDRE VERS… UN PROCESSUS, UN PHÉNOMÈNE, UN ‘PORTEUR’ DANS LE MONDE MATÉRIEL, DONT LES PROPRIÉTÉS POURRAIENT ÊTRE IDENTIFIÉES AVEC CELLES DU TEMPS, AUXQUELLES ELLES CORRESPONDRAIENT.”

Ceci peut paraître étrange à première vue, puisqu’un arbre qui tomberait dans votre jardin serait vu comme étant le résultat d’un vent fort, pas du “flux temporel”. Néanmoins, par la suite, vous devriez vous demandez ce qui a fait que le vent a soufflé. En fin de compte, la rotation de la Terre sur son axe en est le premier responsable. D’où le fait que les changements sont provoqués par une certaine sorte de mouvement. Et sans mouvement, il ne peut pas y avoir de temps.

Plusieurs des savants, dont les articles sont publiés par l’Institut Russe de la Temporologie, sont d’accord sur le fait que, si Kozyrev avait changé sa terminologie et son utilisation du mot “temps” en des termes scientifiques plus courants tels que “le vide physique” ou “l’éther”, alors de nombreuses personnes auraient été incapables de comprendre ses travaux plus tôt, dans les années qui suivirent.

La physique de la torsion

En 1913, le Dr Elie Cartan fut le premier à démontrer clairement que la “structure” (le flux) de l’espace et du temps de la théorie générale de la relativité d’Einstein, ne fait pas que se “courber”, mais a également un mouvement en spirale en son sein, connu sous le nom de “torsion”.

La plupart des gens ignore le fait qu’il est généralement accepté que l’espace entourant la Terre, et peut-être la galaxie entière, a une “rotation droitière”. Cela signifie que l’énergie est obligée de tourner dans le sens des aiguilles d’une montre lorsqu’elle traverse le vide physique.

Selon Sciama et ses collègues, les champs de torsion statiques sont créés à partir de sources rotatives qui n’irradient aucune énergie. Néanmoins, lorsque vous avez une source rotative qui libère de l’énergie sous une forme quelconque, tel que le Soleil ou le centre de notre galaxie, et/ou une source rotative dont plus d’une forme de mouvement se produit en même temps, comme une planète qui tourne autour de son axe et orbite autour du Soleil en même temps, la torsion dynamique se produit alors automatiquement.

Ce phénomène permet aux ondes de torsion de se propager à travers l’espace, plutôt que rester simplement à un point “statique” unique. Ainsi, les champs de torsion, tels que la gravité ou l’électromagnétisme, sont capables de se déplacer d’un endroit à un autre de l’Univers.

De plus, il y a des dizaines d’années, Kozyrev a prouvé que ces champs voyagent à des vitesses “superluminales”. Cela veut dire qu’ils dépassent de beaucoup la vitesse de la lumière. A partir d’une impulsion qui se déplace directement à travers la “structure de l’espace-temps”, qui voyage à une vélocité superluminale, et qui est indépendante de la gravité ou de l’électromagnétisme, il s’agit d’une percée significative dans le domaine de la physique – qui nécessite l’existence d’un “vide physique”, d’une “énergie du point-zéro”, ou d’un “éther”.

Expérimentations sur le champ de torsion

Les expériences du Dr Kozyrev ont débuté dans les années 1950, et furent menées jusqu’aux années 1970, avec l’assistance continue du Dr V. V. Nasonov, qui a contribué à standardiser les méthodes de laboratoire, et l’analyse statistique des résultats. Des détecteurs fonctionnant par rotation et vibration ont été spécialement conçus pour réagir à la présence de champs de torsion, que Kozyrev appelait le “flux temporel”.

Il est important de se souvenir du fait que ces expériences furent menées dans les conditions les plus strictes, répétées des centaines, ou pour beaucoup, des milliers de fois, et furent couchées sur le papier avec des détails mathématiques approfondis. Elles ont été rigoureusement évaluées par des pairs, et Lavrentyev, ainsi que d’autres scientifiques, ont répliqué les résultats de manière indépendante.

Si on revient à notre analogie plus haut, nous avons dit que la matière se comporte plus ou moins comme une éponge dans l’eau. Si nous faisons quelque chose qui perturbe la structure de l’éponge, comme appuyer dessus, la faire tourner, ou la faire vibrer, elle libérera alors un peu de son eau dans son environnement.

Au fil des années, il a été révélé que chacun des processus suivants crée un “flux temporel” d’ondes de torsion dans le laboratoire, dû au fait qu’ils perturbent la matière d’une certaine façon :

  • la déformation d’un objet physique ;
  • la rencontre d’un jet d’air avec un obstacle ;
  • le fonctionnement d’un sablier rempli de sable ;
  • l’absorption de la lumière ; la friction ; le fait de brûler ; les actions d’un observateur, comme le mouvement de la tête ;
  • la chauffe ou le refroidissement d’un objet ;
  • le changement d’état d’une substance (de l’état congelé à l’état liquide ; de l’état liquide à l’état vaporeux, etc.) ;
  • la dissolution et le mélange de substances ; l’agonie d’une plante ;
  • la radiation non-lumineuse à partir d’objets astronomiques ; des changements soudains dans la conscience humaine.

A part le dernier élément, plutôt douteux, lié à la  conscience, nous pouvons facilement nous rendre compte du fait que chaque processus dérange la matière d’une certaine façon, ce qui lui fait absorber ou libérer de minuscules quantités de son “eau” éthérique, ce qui nous rapproche de notre analogie avec l’éponge.

Choses plus importantes encore, ont été menées sur le fait que la puissante énergie émotionnelle pourrait aussi provoquer une réaction à distance, mesurable. Ces études n’ont pas été menées seulement par Kozyrev, mais par de nombreux autres scientifiques. C’est à ce moment précis que nos concepts de phénomènes psychiques et de conscience entrent en scène.

De tels concepts sont devenus bien plus médiatiques après les attaques terroristes du 11 septembre 2001. A l’époque, Dean Radin et son équipe de l’Institut des Sciences Noétiques [sciences liées au savoir] ont pu mesurer un changement énorme dans le comportement des générateurs informatiques de chiffres aléatoires, immédiatement avant et après l’attaque.

Les données montrent que, d’une certaine façon, un changement dans la conscience de masse de l’humanité a affecté le comportement de l’énergie électromagnétique dans les circuits informatiques du monde entier. C’était surtout le cas des ordinateurs les plus proches de l’Amérique du Nord. Ceci suggère que les ondes de torsion et de conscience sont des manifestations fondamentalement similaires d’énergie intelligente.

Aider les effets de torsion et s’en protéger

Revenons à nos données plus “abordables” sur la matière physique. Les travaux de Kozyrev ont montré que les champs de torsions peuvent être absorbés, contenus, et parfois renvoyés. Par exemple, le sucre a une capacité absorbante, le film en polyéthylène et l’aluminium ont une fonction protectrice, et d’autres formes d’aluminium ou de miroirs ont une capacité réfléchissante.

Kozyrev a trouvé que, en la présence de ce flux énergétique, les objets rigides et inextensibles changent de masse, alors que les objets flexibles et élastiques montrent des changements au niveau de leur élasticité et/ou viscosité. Kozyrev a également montré que la masse d’un objet tournant sur lui-même change en cas de vibration, de réchauffement ou de refroidissement, ou si un courant électrique passe à travers lui.

La théorie Einstein-Cartan, qui a établi une base théorique sur l’existence de champs de torsion en 1913, prédit qu’il y a une torsion soit droitière, soit gauchère, dans l’espace, en fonction de l’endroit où l’on se trouve. Les découvertes ultérieures de la physique quantique, en lien avec la notion de “rotation”, ont confirmé que les “électrons” ont une rotation “droitière” ou “gauchère”. Cela signifie que l’objet tournera soit dans le sens horaire, soit dans le sens anti-horaire. Tous les atomes et molécules maintiennent des degrés variables d’équilibre entre une rotation droitière ou gauchère. Kozyrev a déterminé que les molécules à forte tendance droitière, telles que le sucre, peuvent contrer les effets de torsion, alors que les molécules à forte tendance gauchère, telles que la turpentine, peuvent les renforcer.

Les enquêtes russes ultérieures ont également déterminé qu’un produit courant, le film en polyéthylène, forme un excellent bouclier contre les ondes de torsion. Ces découvertes ont été utilisées dans de nombreuses expériences différentes, comme celles d’Alexander Frolov.

Traduit par Valentin SterckmanChercheurs De Vérités

A propos de l’auteur : David Wilcock est un conférencier, réalisateur et chercheur sur les civilisations anciennes, la science de la conscience, et les nouveaux paradigmes de la matière et de l’énergie. Son prochain film, Convergence, dévoile les preuves que toute vie sur Terre est unie par un champ de conscience.

David est également le sujet et le co-auteur de La Réincarnation d’Edgar Cayce ?, livre explorant les remarquables similarités entre David et Edgar, et présentant de nombreuses lectures psychiques très inspirantes, et révélant des preuves scientifiques de la NASA du changement climatique interplanétaire, ainsi que son impact sur notre ADN.

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Date de dernière mise à jour : 19/10/2019

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