LES MÉDICAMENTS

LES MÉDICAMENTS FONT 6 FOIS PLUS DE MORTS QUE LES ACCIDENTS ROUTIERS

Imaginez un instant une telle campagne publicitaire sur le tabac :

  • “Il est recommandé de fumer 1 paquet de cigarettes minimum par jour”
  • “Il est mal poli de fumer une cigarette seul, sans partager sa fumée avec d’autres personnes”
  • “Pour la santé de vos enfants, apprenez-leur à fumer dès le plus jeune âge”

Naturellement, vous penseriez : “Mais ils sont tombés sur la tête, ou quoi ?”

Et vous auriez raison.

Pourtant, personne ne dit rien lorsque les autorités sanitaires tiennent ce genre de discours au sujet des médicaments. Elles continuent d’ailleurs de faire la promotion de ce genre de médicaments malgré les piles entières d’études qui s’entassent sur les risques importants des médicaments sur notre santé.

Les autorités sanitaires souhaitent-elles donc notre mort ?

Les médicaments font 6 fois plus de morts que les accidents routiers

Prenons comme autre analogie les accidents routiers.

Imaginez une campagne publicitaire qui vous incite à boire avant de prendre le volant, ou à ne pas mettre votre ceinture de sécurité ? Vous n’en tiendriez pas compte non plus, évidemment.

Et pourtant, les médicaments sont bel et bien responsables de nombreuses morts chaque année :

“CHAQUE ANNÉE, IL Y A 18 000 MORTS LIÉS À LA PRISE DE MÉDICAMENTS, ET 1/3 DE CES DÉCÈS CORRESPONDENT À DES PRESCRIPTIONS QUI NE SONT PAS JUSTIFIÉES.”

DR BERNARD BÉGAUD, ANCIEN MEMBRE DE LA COMMISSION PHARMAVIGILANCE, À L’OCCASION DU PROCÈS DU MÉDICAMENT MÉDIATOR DES LABORATOIRES SERVIER.

Or, d’après les chiffres de la sécurité routière, on a observé 3 464 décès dus aux accidents de la route.

Cela fait donc 6 fois plus de morts par la prise de médicaments que par les accidents routiers, avec la plus grande complicité des autorités sanitaires.

Comment les médicaments sont-ils autorisés ?

En France (et dans d’autres pays), la dernière phase clinique permettant l’autorisation d’une molécule comme médicament a lieu après sa commercialisation. Selon l’OMS, cette étape sert à “affiner les indications thérapeutiques, cibler des populations particulières, établir l’innocuité du médicament et vérifier l’absence d’interaction médicamenteuse.”

Ce qui veut donc dire que, lors de l’autorisation d’une molécule à la vente, son innocuité (le fait qu’elle ne soit pas toxique) n’est pas encore prouvée, et on ne connaît pas l’interaction qu’elle peut avoir avec d’autres traitements.

Parmi ces médicaments, prenons Vioxx, un anti-inflammatoire des laboratoires Merck conçu pour lutter contre les douleurs de l’arthrose.

Les laboratoires Merck avaient mené une grande campagne publicitaire vantant la diminution des effets secondaires sur le plan gastrique par rapport aux autres antidouleurs déjà commercialisés.

Malheureusement, les laboratoires Merck avaient ‘oublié’ de dire que les tests de ce médicament avaient démontré une forte augmentation du risque cardiaque.

Vioxx n’a été retiré du marché qu’après 160 000 accidents cardiovasculaires, dont 60 000 décès. Le médicament avait donc bien eu le temps de faire des dégâts.

Mais ce n’est pas le pire. D’autres médicaments, qu’on peut retrouver dans toutes les armoires à pharmacie des maisons de France, sont également sujets à controverses.

Le paracétamol, molécule la plus consommée en France

On retrouve du paracétamol dans les EfferalganDafalgan et Doliprane, les trois médicaments les plus vendus en France, mais aussi dans le FervexHumexActifea, etc. Citons également la codéine et l’ibuprofène, deux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Lors d’une étude menée dans un service de transplantation du foie, les chercheurs ont montré que 66% des patients s’étaient retrouvées dans ce service à cause d’une overdose de paracétamol. La consommation de plus de 4g de paracétamol par jour rendait la greffe de foie nécessaire et urgente.

Remarquez que si les autorités sanitaires faisaient correctement leur travail, on retrouverait sur les emballages de médicaments contenant du paracétamol, des contre-indications pour les personnes malades du foie, pour les personnes ayant un lendemain de soirée difficile, ou encore ceux qui prennent des statines.

Revoir à la baisse les doses maximales ne ferait pas de mal non plus.

Une méta-analyse a montré que les risques de mortalité augmentaient de 23% lorsque les patients prenaient du paracétamol aux doses conseillées, et de 63% après plusieurs prescriptions rapprochées. En plus de ça, les femmes qui prennent plus de 15 comprimés par semaine voient leurs risques d’accidents cardiaques augmenter de 68%.

Les risques de saignements, d’accidents vasculaires cérébraux, et de problèmes gastriques et intestinaux

Les scientifiques savent depuis 2005 que les AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens) multiplient par deux le risque d’infarctus.

Une étude publiée par la revue médicale The Lancet a prouvé que les consommateurs de coxibs et de Diclofénac augmentaient leurs risques d’accidents cardiovasculaires de 30% par rapport à la normale.

Le naproxène, un autre AINS, ne provoque pas d’accidents mais il augmente les risques de perforation, d’obstruction et de saignements intestinaux et stomacaux, car il fragilise les parois intestinales et stomacales.

D’autres études, très nombreuses, montrent que les médicaments antidouleurs renforcent l’arthrose chez les patients, même s’ils soulagent temporairement de la douleur. En effet, certains médicaments prescrits aux arthrosiques augmentent la dégradation du cartilage. Heureusement, il est possible d’inverser cet effet et de reconstruire son cartilage grâce à des remèdes naturels.

Privilégier les remèdes naturels

Au risque de me mettre les laboratoires pharmaceutiques à dos (ah, c’est déjà fait, me souffle-t-on à l’oreillette), je vais répéter ce que je dis souvent : tous les remèdes sont dans la nature !

Beaucoup trop de gens dépensent de l’argent pour des médicaments chimiques qui ne les soignent que temporairement, et créent des troubles bien plus graves par la suite. Certains vont me répondre, “pas grave, c’est la Sécu qui paye”. Oui, mais la Sécurité Sociale, c’est qui ? C’est vous, c’est moi, c’est tout le monde, au bout du compte. C’est une partie (non négligeable) de nos impôts.

Lutter contre les douleurs chroniques

Contre les douleurs chroniques, pensez à l’Harpagophytum (mais c’est quoi cette bêbête ?), aussi appelé la griffe du diable. Les peuples indigènes d’Afrique du Sud l’utilisent contre leurs douleurs. Son nom vient du fait que le fruit de cette plante est doté de petites griffes lui permettant de s’agripper facilement aux gens et animaux qui l’approchent. Cette plante n’est à utiliser que sur une courte période, car ses effets à long terme sont encore méconnus. Cette plante s’utilise aussi contre :

  • L’arthrose : des études ont montré que la prise quotidienne de 100mg de diacéréine était équivalente à 6 prises de 435mg d’Harpagophytum par jour sur 4 mois, sans les effets secondaires indésirables. Sinon, pour lutter contre l’arthrose en se passant d’anti-inflammatoires, rien de plus simple : faites de l’exercice !
    Même si on vous a souvent dit que nos articulations et notre corps s’usent avec le temps et qu’il faut les préserver en évitant l’exercice, c’est faux. Se soigner de façon naturelle et passagère est de loin préférable sur le long terme.
    Pour reconstruire votre cartilage, privilégiez les auto-massages, ou ajoutez à votre diète de l’ortie, du saule blanc, de la reine des prés, du peuplier, ou encore de la vergerette du Canada.
    Concernant les posologies, référez-vous à des sources holistiques fiables sur internet.
  • Les rhumes sans douleurs ni fièvre : là encore, ce n’est pas un anti-inflammatoire qui va vous guérir. Il faut que votre corps produise des anticorps pour guérir. En cas de rhume prolongé, cela veut dire qu’il y a sûrement une cause infectieuse, auquel cas les anti-inflammatoires ne vous aideront pas non plus. Pensez au curcuma, sous forme de gélule, ou de poudre que vous incorporerez à vos plats ou à une infusion, qui n’a pas d’effets secondaires, tout en étant plus efficace que le paracétamol.
  • Les douleurs lombaires : l’Hapagophytum soulage les douleurs lombaires aigües, avec les mêmes effets que le Vioxx – dont nous avons parlé plus haut – sans les effets secondaires.
  • Les fièvres et maux de tête : évitez les AINS, notamment si vous fumez, si vous êtes prédisposé à des maladies cardiovasculaires ou si vous suivez un traitement amplifiant les risques cardiovasculaires. Evitez également le paracétamol, surtout si vous avez consommé de l’alcool ou que vous êtes malade du foie. Si vous avez bu trop d’alcool, buvez de l’eau plate sucrée.
    Vous pouvez aussi prendre de la méthionine ou de la N-acétylcystéine en cas de surconsommation d’alcool. Ces médicaments soulageront votre foie, c’est pour cela qu’ils sont injectés à l’hôpital en cas d’intoxication au paracétamol, et considérés comme antidotes du paracétamol.

Par Valentin SterckmanChercheurs de Vérités

Références : pure-sante.info

Cet article vous a-t-il été utile ? Partagez-le avec vos amis ! Voir ci-dessous : Facebook - tweeter et autres - ou donnez leur l'URL de ce site :

http://www.messagere.e.monsite.com

Lignede3 1

Retour à la page d'accueil et au menu - ou - Message suivant 

 

Date de dernière mise à jour : 23/10/2019

Ajouter un commentaire

Anti-spam