DEVRAIT ETRE MEDITEE PLUTOT QUE LUE - 8

CHRIST REVIENT – IL DIT SA VERITE - LETTRE 2 – 8

J’attendis un moment puis j’élevai la voix pour attirer toute l’attention :

-Mais ne vous ai-je pas dit que vous RECOLTEZ ce que vous semez ? Ne vous au-je pas dit clairement que vos pensées, vos paroles, vos actions créent votre vie future ? Alors que voulez-vous SEMER pour RECOLTER après que vous ayez donné votre tunique et votre manteau à cet étranger ? Voulez-vous que votre cadeau vous revienne, ou voulez-vous rester sans tunique et sans manteau pour longtemps, très longtemps, parce que c’est ce qui vous arrivera si vous continuez votre chemin en colère, fâché d’avoir donné votre tunique et votre manteau ? Vos paroles et actions vont sceller, rendre dure comme le roc la pauvreté que vous vous êtes vous-mêmes apportée en donnant votre tunique et manteau.

Les gens ne souriaient plus, ils ne riaient plus, ils restèrent tout tranquilles et écoutèrent attentivement.

-Rappelez-vous : d’abord, faites à autrui ce que vous aimeriez que l’on vous fasse et ensuite, votre esprit et votre cœur seront en paix et dans le contentement et le « Père » sera en mesure d’accomplir Son TRAVAIL D’AMOUR dans votre corps, votre esprit et votre cœur. Donnez, donnez abondamment et réjouissez-vous d’avoir des choses à donner à ceux qui sont dans le besoin, parce qu’en donnant ainsi, vos bienfaits vous seront retournés de la manière dont vous en avez le plus besoin. Donnez avec un cœur heureux, donnez avec la foi et la connaissance que là où il ya besoin dans votre vie, le « Père » fera Son TRAVAIL D’AMOUR, abondamment, en vous et pour vous.

-Ne faites rien d’un cœur lourd parce qu’un cœur lourd est ce que vous continuerez à avoir.

Donnez tout, l’esprit joyeux, afin que tout dans votre vie ne puisse vous apporter que de la joie et de la compréhension spirituelle.

Un homme commenta :

-C’est contre la nature de l’homme. Il est naturel de craindre le futur. Les habits sont chers, la nourriture n’est pas facile à trouver. La vie est une lutte perpétuelle.

Je répondis à haute voix, parce qu’il ne disait que ce que je savais que la plupart de mes auditeurs pensaient.

-Mais tu ne sais pas avec certitude que tu vas devoir lutter pour vivre demain. Tu ne sais pas que demain, tu n’auras pas un travail splendide ou toute autre chose merveilleuse qui viendra à toi. Tu ne sais pas cela – mais ce qui est tout à fait certain, c’est que tu agis en sorte de ne pas te voir offrir un travail extraordinaire ou quelqu’autre occasion merveilleuse dans ta vie – parce que tu crées les circonstances de tes lendemains.

Il se fâcha :

-Moi ? Et comment le fais-je ?

-Est-ce que je ne viens pas de te le dire ?

Je me tournai vers ceux qui riaient :

-Dites-moi, comment cet homme, la devant vous,  en tunique rouge, crée-t-il ses lendemains ?

La foule resta silencieuse, mais un très jeune homme Marc, me cria :

-Je sais ! Il a dit qu’il devait lutter pour acheter de la nourriture et des habits. Tu nous as dit que c’est ce que nous pensons et disons que nous recevrons.

-Exactement, dis-je. Tu es un garçon très intelligent. Tu as compris. Veille à ne pas te créer les choses que tu ne veux pas. Et je serais heureux que tu deviennes mon disciple quand tu seras plus âgé et que tes parents te laisseront aller.

Quelques personnes rirent, mais d’autres restèrent silencieuses. Je voyais qu’elles ne croyaient pas un mot de ce que je disais.

-Vous n’entrerez jamais dans le Royaume des Cieux en étant anxieux. Si votre vie est difficile aujourd’hui, pourquoi le déplorer ? Vous sentirez-vous mieux en continuant à vous plaindre, vos larmes éclaireront-elles votre journée ? Et si vous vous inquiétez à propos de demain, vous vous créez des lendemains sombres et lourds avant même d’y arriver. Pourquoi le faire ? Quel bien cela va-t-il vous faire ? Quand est-ce que l’anxiété à jamais  accompli quelque chose pour vous ? Vous pourriez aussi bien essayer de grandir en vous inquiétant d’être trop petits !

-Non, ne vous arrêtez pas sur ce que vous n’avez pas. Arrêtez-vous sur les choses qui peuvent être les vôtres et si vous vous tournez vers le « Père » en vous, en demandant avec un foi parfaite – en croyant que vous recevrez – et je vous le dis sans crainte de me voir contredire que vous recevrez. Mais il vous faut demander correctement, en croyant. Vous ne recevrez rien si vous demandez et doutez en même temps d’avoir été entendu ou que le « Père » aura envie de vous donnez ce que vous désirez. Ca, c’est la manière humaine de donner, mais pas la manière du « Père », qui donne abondamment et qui répond à vos besoins.

-Le « Père » déverse constamment Ses dons sur vous, des dons de nourriture en quantité, d’habits, de maison, d’amis, à condition que vous-mêmes, vous ayez le cœur et l’esprit purs et à condition que vous vous appuyez constamment sur le « Père », votre soutien, jour après jour.

-Si vous priez et ne recevez pas, ne croyez pas un seul instant que c’est parce que le « Père » n’existe pas ou qu’Il ne vous écoute pas. Il faut plutôt vous demander ce qui, en vous empêche le TRAVAIL D’AMOUR « Père » de s’accomplir en vous et pour vous.

-Si vous vous rendez à l’autel pour prier ou faire une offrande et que sur votre chemin, vous vous rappelez vous être querellé avec quelqu’un, revenez sur vos pas, allez vers cette personne et faites la paix avec elle. Alors, quand vous approcherez le « Père » en prière, vous aurez un esprit et un cœur purs et vous serez entendus par le « Père », et le « Père » sera en mesure de vous répondre en vous donnant tout ce dont vous avez besoin, dans la paix et la tranquillité de votre être.

-Si vous ne pouvez toujours pas croire que le « Père » se soucie de sa création, regardez autour de vous, les fleurs rayonnantes dans les champs, comme elles sont belles ! Pensez à la brillante pensée qui a conçu leur forme, leur beauté ! Où trouverez-vous les couleurs que vous voyez dans leurs pétales ? Malgré toute sa sagesse, Salomon lui-même n’a pas été capable de se faire des habits d’une telle beauté. Voyez comme les fleurs attirent les abeilles et comme les abeilles apportent les semences de la saison à venir, pour rendre votre monde merveilleux et pour vous nourrir. Pourquoi ne pouvez-vous pas croire et faire confiance au « Père » quand le monde qui vous entoure est conçu, planifié et conservé d’aussi merveilleuse façon ?

-Mais souvenez-vous, ces plantes et ces arbres vivants – au contraire du genre humain – ne peuvent pas se plaindre de leur lot, ni voir qu’ils sont affamés et nus, de sorte qu’ils ne défont pas l’œuvre que le Père accomplit en eux.

-C’est en vous plaignant sans cesse et en parlant de ce qui vous manque, ce sont vos  agressions mutuelles, votre insistance à vouloir punir, vos critiques et votre médisance, qui font, en conséquence, que vous manquez de tout – et qui vous rendent malades – jour après jour.

-Je vous dis toutes ces choses pour vous préparer, vous qui êtes malades, à la guérison. Vous ne pouvez être guéris à moins que vous ne croyez, de tout votre cœur, que la guérison aura lieu. Rappelez-vous que les maladies du corps viennent d’une maladie de l’esprit, tel votre mauvais tempérament, vos ressentiments, vos colères et vos haines.

-« L’amour Père » est la source de la santé, et par conséquent, toutes les pensées et tous les sentiments contraires à « l’Amour Père » apportent la maladie.

-Tout comme vos maux et vos maladies commencent dans l’esprit, ainsi en est-il de vos bonnes actions.

-Prenez soin de votre prochain autant que de vous-mêmes. Lorsque vous vous disputez, bénissez votre voisin, pour lui lorsqu’il est dur envers vous, aidez-le chaque fois que vous le pouvez et en toute occasion, même s’il se détourne de vous, parce que vous construisez le bien dans votre esprit et dans vos pansées, et le bien sera la récolte de ce que vouq aurez semé. Et plus encore – vous harmonisez votre esprit et le mettez en syntonie avec le « Père » en vous, qui est Amour Parfait. C’est dans ces conditions que le Père eut accomplir son ŒUVRE D’AMOUR en vous.

Lorsque j’eus fini de parler, les gens apportèrent leurs malades et selon leur foi, ils furent guéris.

LA LETTRE 3 décrira plus en détail les enseignements du Christ et expliquera les événements qui menèrent à sa crucifixion et à sa mort. Christ décrit en termes poignants la Sainte Cène, son dernier repas avec ses disciples, lorsqu’il se trouva seul en esprit parce que ses disciples, du premier au dernier, refusèrent de croire qu’il allait être crucifié. De manière répétée, il fut incompris et il réalisa de nouveau le succès plus que limité de son enseignement pendant sa mission de trois ans. Il fut heureux de partir !

Mon souhait le plus cher, à moi, le Christ, est que ces LETTRES soient rapidement publiées et distribuées aux chercheurs de Vérité. Si vous désirez reproduire des extraits de mes LETTRES, veuillez en citer la source très clairement comme suit :

LETTRES DU CHRIST, ww.voiechristique.co.za,

(Titre du Livre : CHRIST REVIENT – IL DIT SAVERITE)

CHRIST’S LETTERS , www.christsway.co.za, (Book Title : CHRIST RETURNS-SPEAKS HIS TRUTH)

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Date de dernière mise à jour : 30/10/2020

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