Nous sommes tous responsables, de ce que nous expérimentons

Oui, nous sommes tous responsables, de ce que nous expérimentons, de ce que nous vivons pour la simple raison que nous créons ce que nous pensons.

La maladie a plusieurs visages, car tout dans ce qui est considéré comme réalité est semblable à la maladie, où tout bouge, tout change et évolue sans cesse. Cela a une conséquence sur ce qui nous sert de véhicule dans ce monde, dans ce qui n'est qu'un rêve, ce n'est pas seulement une question de pureté.

On peut dire que la maladie a été un vecteur de changement pour tous les organismes vivants qui est lié à ce que nous appelons la création illusoire de la pensée créatrice, dont nous sommes la source. C'est-à-dire que la maladie peut affecter ce qui est papable, ce qui est forme de pensée, mais elle ne peut pas altérer ce que nous sommes de toute éternité, la lumière éternelle dans l'éternel présent. La maladie est une conséquence, qui a de nombreuses raisons de se manifester, qui a sa raison d'être.

 En effet, lorsque nous naissons dans ce monde, en tant qu'être humain, nous sommes confrontés à l'environnement, à une diversité infinie de particules, d'organismes vivants et non vivants, ce qui a pour conséquence que le corps humain doit s'adapter, lutter pour renforcer son système humanitaire. Lorsque l'être réalise qu'il fait partie d'un tout, qu'il est à la fois ce corps et tout ce qui l'entoure, tout cela gravite. En fait, nous faisons l'expérience de notre propre création éphémère, puisque tout est en changement continu, car tout est l'émergence de la pensée créatrice et que ce que nous considérons comme le temps, l'espace, les dimensions et autres plans, ne sont que des voiles, que des expériences éphémères, puisque ce qui ne change jamais est l'éternel présent, et nous sommes la lumière éternelle. La maladie est source d'inspiration, qui permet à l'être de changer sa façon d'agir, de penser et prendre connaissance de ce qui doit être changé.

Peut-on parler de pureté ? Elle reste un regard sur ce qui est éphémère alors qu'il n'y a que la lumière et ce qui est vu comme la réalité n'est que l'émergence de la pensée créatrice, dont nous sommes la source. Tout est juste, tout a sa raison d'être, tout est à sa place puisque tout contribue à ce changement perpétuel de ce qui émerge de la pensée créatrice, tout en étant observateur puisque nous sommes tout et rien à la fois.

Seul l'amour absolu nous révèle cette vérité absolue, car ce qui est considéré comme le réel n'est qu'une création illusoire, la réalité ultime n'a pas besoin d'être perçue, c'est la lumière de l'éternel présent qui consume tout par sa lumière d'amour absolu. Lorsque l'on reste identifié à la forme pensée, on expérimente à la fois tout et rien, puisque tout est un changement continu, une boucle sans fin ni début, car rien n'est réel si ce n'est la lumière de l'éternel présent, que nous sommes de toute éternité.

Par Régis Raphaël Violette

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Date de dernière mise à jour : 23/07/2021

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