LES RÉELS DANGERS DES VACCINS

A l’heure où le gouvernement Macron décide d’imposer aux enfants de la France entière de se faire administrer 11 nouveaux vaccins, diverses études démontrent les risques que nos enfants encourent si ce décret du Conseil d’Etat parvenait à passer.

Il est parfois difficile de prouver le lien entre certaines maladies et l’administration de vaccins, une maladie pouvant également avoir d’autres facteurs déclencheurs. Néanmoins, le nombre de maladies déclarées faisant suite à l’administration de différents vaccins est quand même remarquablement élevé pour n’être qu’une coïncidence. Les études sur le sujet étant principalement financées par ces mêmes laboratoires qui produisent les vaccins, nous sommes fortement amenés à douter de leur impartialité.

La médecine arrive à faire passer cela pour des éléments isolés, sauf que plusieurs milliers, voire dizaines de milliers d’éléments isolés constituent bel et bien un tout, même s’ils représentent une petite part de la population. Pour la communauté scientifique et les laboratoires, faire mention d’éléments isolés permet de noyer le poisson facilement et de continuer à nous vacciner sans que nous nous inquiétions des risques possibles.

Les divers effets négatifs des vaccins

Divers vaccins sont liés à de sévères réactions telles que :

  • la méningite
  • l’accident vasculaire cérébral (crise cardiaque)
  • la neurite bracchiale
  • l’arthrite rhumatoïde chronique
  • l’épilepsie et les convulsions
  • la mort
  • l’encéphalopathie et l’encéphalite
  • la perte d’ouïe
  • le syndrôme de Guillain-Barré (maladie auto-immune inflammatoire)
  • la paralysie faciale
  • des troubles du système immunitaire
  • des troubles du système lymphathique
  • des troubles du système nerveux
  • différents types de scléroses
  • la myocardite
  • la mort subite du nourrisson
  • le tinnitus (résonnements ou bourdonnements dans les oreilles)
  • la pneumonie et d’autres troubles respiratoires
  • la maladie d’Alzheimer

Vous trouverez d’autres troubles recensés dans cette base de données.

Les vaccins et la mitochondrie

Les réactions aux vaccins sont variées, et ne provoquent pas forcément de trouble après-coup, car chaque être humain a un bagage génétique différent et une réaction à la vaccination qui lui est propre. On ne peut donc pas savoir à l’avance quels seront les risques exacts sur les personnes vaccinées, et c’est ce flou qui accentue la difficulté de lutter contre la vaccination à tout-va.

Les vaccins sont particulièrement dangereux pour les personnes atteintes de mutations génétiques mitochondriales (qui affectent jusqu’à 4 000 bébés par an). Certaines d’entre elles ne sont pas capables de détoxifier leur corps de certains poisons comme le mercure et l’aluminium, des adjuvants fréquemment présents dans les vaccins. Cette incapacité de se détoxifier provoque des dégâts sur différents organes, qui ont parfois des effets dévastateurs.

Les adjuvants dans les vaccins : l’aluminium et le mercure

En médecine, on retient ce principe de base : aucun risque n’existe tant qu’il n’a pas été prouvé. A l’heure actuelle, la plupart des médecins et scientifiques ne sont pas certains des effets engendrés par la présence d’adjuvants dans les vaccins, y compris les dysfonctionnements neurologiques.

Un adjuvant est un ingrédient ajouté à un vaccin pour augmenter la réponse immunitaire dans le corps d’un patient. En d’autres termes, l’adjuvant accroît l’efficacité du vaccin et l’active. On retrouve dans la liste des adjuvants notoires les sels d’aluminium, dont l’hidroxyde d’aluminium, le phosphate d’aluminium, et l’alun.

On retrouve ces adjuvants dans de nombreux vaccins dont l’usage est répandu, comme le vaccin contre l’hépatite A et l’hépatite B, le DTP (vaccin diphtérique, tétanique et poliomyélitique), le vaccin contre le HPV (papillonovirus), contre le pneumocoque et celui contre l’Haemophilus Influenzae (anciennement appelé bacille de Pfeiffer).

On trouve également le mercure dans les vaccins contre la grippe, où il est utilisé comme conservateur sous forme de thiomersal. Bien que, de nos jours, le thiomersal ne soit plus utilisé dans les vaccins pour enfants, il est encore présent sous forme de traces dans tous les vaccins car il fait partie du procédé de fabrication. La FDA (Food and Drug Administration, organe de santé américain) a classé le mercure comme élément toxique pour l’organisme, au même rang que l’arsenic et le fluor. La quantité de mercure dans les vaccins dépasse tout de même les doses limites d’ingestion recommandées par la FDA. Bien que les vaccins soient injectés et non pas ingérés, nous savons très bien que tout ce qui est injecté passe dans le sang de la même façon que ce qui est ingéré, ce qui a des conséquences notoires pour l’organisme. Y a-t-il une dose maximale à ne pas dépasser ? Nous ne le savons pas car aucune étude n’a été menée sur le sujet.

Même sous forme de traces, le mercure est donc dangereux pour la santé. Tout comme l’aluminium, il s’accumule dans le cerveau, et provoque des troubles neurologiques qui affectent la parole, le mouvement et l’apprentissage. Le mercure est 500 fois plus toxique que le plomb, et l’empoisonnement au mercure présente les mêmes caractéristiques que l’autisme.

Etant donné que le métabolisme n’élimine le mercure que progressivement, son effet est cumulatif. Il est particulièrement dangereux pour les enfants, bébés et foetus, dont le cerveau est en plein développement.

Mais ce n’est pas tout. Combiné à d’autres métaux, comme l’aluminium, sa toxicité est accrue. Une étude canadienne a démontré les risques que ces adjuvants avaient sur le cerveau. Pour cela, les chercheurs ont disposé des neurones dans un récipient, avant d’y ajouter les quantités d’aluminium et de mercure présentes dans les vaccins. En ajoutant uniquement de l’aluminium sur ces neurones, les chercheurs se sont rendus compte que les neurones diminuaient en taille et s’affaiblissaient. En y ajoutant du mercure (en plus de l’aluminium), la destruction des neurones continuait de façon plus intensive.

L’aluminium peut rester dans l’organisme jusqu’à 8 ans, ce qui rend son effet cumulatif, surtout si on boit de l’eau du robinet.

Un système de test inadéquat

Les problèmes rencontrés avec les vaccins devraient conduire les laboratoires à faire des tests approfondis sur les dangers des vaccins, et pourtant les laboratoires ne s’en soucient guère :

  • aucun test de sécurité en rapport avec l’effet placebo des vaccins n’a été effectué ;
  • aucun test non plus quant à la présence d’éléments cancérigènes ou mutagènes ;
  • aucune recherche qui permette de déterminer les limites à ne pas dépasser dans le dosage des ingrédients.

Pendant ce temps, l’élite, y compris les directeurs de laboratoires, se gardent bien de faire vacciner leurs enfants ou de se faire vacciner eux-mêmes. Pourquoi veulent-ils nous obliger à nous faire vacciner alors qu’eux-mêmes sont conscients des risques ?

La vaccination et la mortalité infantile aux Etats-Unis

C’est aux Etats-Unis que les enfants sont le plus vaccinés, notamment les enfants de moins d’un an. Les Etats-Unis occupent la 19ème place en matière de mortalité infantile. C’est aussi aux Etats-Unis que la mortalité infantile est la plus fréquente.

Notons également que :

  • 1 enfant américain sur 6 a des troubles de l’apprentissage
  • plus de 50 % des enfants souffrent d’une maladie chronique quelconque
  • le cancer est la première cause de mortalité infantile aux Etats-Unis

L’autisme, conséquence de la vaccination ?

Comme je l’ai expliqué plus haut dans l’article, l’empoisonnement au mercure présente les mêmes caractéristiques que l’autisme. Diverses études ont démontré les liens qui existent entre l’autisme et la vaccination.

Les cas d’autisme sont passés de 1 pour 10 000 en 1990, à 1 sur 150 en 2000, et à l’heure actuelle ils sont de 1 pour 68 (1 pour 42 chez les garçons et 1 pour 189 chez les filles).

Les vaccins contre la grippe et contre les MST, entre autres, nous exposent à des risques similaires. Il est d’autant plus gênant de constater que la vaccination est maintenant recommandée chez les femmes enceintes, bien qu’il soit clairement précisé sur les emballages de vaccins que ceux-ci n’ont pas été testés sur des femmes enceintes, et que par conséquent la communauté scientifique n’a pas encore pu en révéler les risques.

Que faire en tant que parent ?

En tant que parent responsable, renseignez-vous un maximum. Beaucoup d’études sur les vaccins sont financées par les laboratoires, et sont donc très douteuses. Certains livres traitent du sujet comme celui-ci ou celui-là, qui sont écrits par des gens réellement consciencieux de notre santé et de celle de nos enfants.

A chaque fois que vous êtes confronté à une source, posez-vous ces questions : Qui a financé l’étude ? Qui a payé pour la publicité de l’étude ? Les compagnies pharmaceutiques ont beaucoup d’argent, et n’hésitent donc pas à investir de grosses sommes dans la réalisation d’études dont les résultats les arrangent. La grande question est, est-ce que ce qui profite à l’industrie pharmaceutique, profite également à la santé de nos enfants ?

Contactez les politiciens locaux

Les politiciens locaux peuvent faire avancer la législation en notre faveur en demandant des études plus approfondies sur les risques des vaccins, des adjuvants, des moyens de culture et des excipients.

Luttez contre la vaccination obligatoire

La vaccination obligatoire est bien la preuve que les laboratoires ne veulent pas que l’on ait le choix. Ils vont même jusqu’à aller vacciner nos enfants au sein de leur école, à notre insu, et pressent le gouvernement à obliger les enfants à se faire vacciner au risque de ne pas avoir accès à l’éducation. Or, l’éducation étant obligatoire en-dessous de 16 ans, la vaccination l’est forcément aussi. Ce sont les parents qui doivent décider si oui ou non ils feront vacciner leurs enfants, pas les laboratoires ni les gouvernements. Reprenez cette responsabilité et ce choix qu’on essaie de vous ôter !

Signez la pétition qui circule en France contre la vaccination obligatoire imposée par le gouvernement Macron

Voici un lien vers la pétition qui permettra d’obstruer la décision que le Conseil d’Etat doit prendre le 8 août 2017. (Un peu dépassé mais raisonnement toujours valable)

Le combat n’est pas fini !

par Chercheurs de Vérités

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Date de dernière mise à jour : 19/11/2019

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