Tunguska... Suite

Le problème du « statu quo » et de la « police de la pensée » n'est pas une question mineure. Dans cette série d'articles qui furent initiés par le livre de Mike Baillie « New Light on the Black Death, » nous avons été confrontés avec le fait évident que ceux qui occupent le pouvoir et détiennent l'autorité mentent aux masses de l'humanité. Il s'agit d'une règle plutôt que d'une exception.

À maintes reprises dans cette série, nous avons discuté des bombardements cométaires historiques, de leurs conséquences pour l'humanité, assez désastreuses pour commencer, mais qui furent ensuite exacerbées et capitalisées par des déviants pathologiques, à la suite de quoi les faits furent étouffés par des mensonges. Pire, à maintes reprises nous avons vu que les masses de l'humanité qui souffrent le plus de ces attaques et manipulations semblent être tout à fait désireuses d'être trompées, même au point d'être détruites (pourvu que quelqu'un leur propose quelque chose de tangible à croire, et un bouc émissaire à accuser).

À présent, nous observons ce phénomène à l'œuvre à l'échelle mondiale en temps réel et à maintes reprises nous nous creusons l'esprit et demandons «pourquoi ?! »

Que se passe-t-il dans notre monde, au sein de notre culture moderne, chez l'humain qui habite notre planète, qui engendre cet état paradoxal, impliquant que les mensonges sont préférés à la vérité, et la mort à la vie ?

À mesure que j'ai tiré sur les nombreux fils qui mènent à ces sujets et en dehors, ce que je vois de manières répétées est un petit groupe de gens sur la planète qui dirigent les masses, qui n'ont pas les meilleurs intérêts de l'humanité à cœur - une autre affirmation en-dessous de la vérité, mais je suis lancée, donc pourquoi arrêter maintenant ?

Ce que je vois sont les efforts constants - et souvent couronnés de succès - de ce petit groupe poussant à appliquer le totalitarisme sous un déguisement ou un autre - de la politique à la religion et dans tous les domaines de la science - dans le monde entier.

Et à maintes reprises ils utilisent les désastres comme moyen pour consolider leur pouvoir. Lisez le livre de Naomi Klein « The Shock Doctrine », pour saisir exactement comme cela fonctionne maintenant, et comment cela a toujours fonctionné. Il n'y a rien de nouveau sous le soleil !

En parallèle à la prise de conscience croissante de la pathologie au pouvoir, se fait jour la recherche en expansion parmi quelques scientifiques et chercheurs indépendants montrant manifestement que les désastres cométaires sont cycliques, et qu'il est encore entièrement possible qu'il subsiste quelques bigs bangs dans le flot des météores des Taurides. Il est aussi possible qu'existent de nouveaux essaims de comètes venant vers nous comme semblent l'indiquer le récent « réchauffement global » et les événements de « captures de lunes » sur les autres planètes.

Quelque chose se passe, nous en sommes absolument sûrs, dans notre système solaire et nous avons besoin de savoir ce que c'est. Ce qui semble certain est que si des désastres sont à prévoir dans notre avenir, ils ne seront considérés par les élites que comme une autre opportunité pour utiliser leurs tactiques de choc et ainsi consolider leur pouvoir sur la planète entière, peu importe qu'il reste aussi peu de monde, au point que cela se résume à une grosse grenouille dans un petit étang - et probablement gelé.

Dans son livre « The Origins of Totalitarianism », Hannah Arendt lutte avec le problème, n'atteignant jamais tout à fait une explication ni une solution complète. Après tout ce qu'elle a vu, tout ce qu'elle a vécu, toute sa recherche, elle écrit dans l'introduction :

« Deux guerres mondiales en une génération, séparées par une chaîne ininterrompue de guerres et révolutions locales, qui ne s'avérèrent suivies par aucun traité de paix pour les vainqueurs et répits pour la victoire, se sont terminées dans l'anticipation d'une Troisième Guerre mondiale entre les deux puissances restantes. Ce moment d'anticipation est comme le calme qui s'établit après la mort de tous les espoirs. Nous n'espérons plus une ultime restauration de l'ancien ordre du monde avec toutes ses traditions ni pour la réintégration des masses des cinq continents qui ont été jetées dans un chaos produit par la violence des guerres et des révolutions et le délabrement croissant de tout ce qui a été épargné. Dans les conditions et circonstances les plus disparates, nous observons le développement du même phénomène - des sans domicile à une échelle sans précédent, des sans- racine à une profondeur sans précédent.

Jamais notre avenir n'a été plus imprévisible, jamais nous n'avons autant dépendu de forces politiques auxquelles nous ne pouvons faire confiance pour suivre les règles du bon sens et de l'intérêt personnel - des forces qui s'apparentent aux manifestations de la plus pure folie, si on les juge selon les normes des autres siècles. C'est comme si l'humanité s'était divisée entre ceux qui croient en l'omnipotence humaine (qui pensent que tout est possible si l'on sait comment organiser les masses pour cela) et ceux pour qui l'impuissance est devenue l'expérience majeure de leur vie.

Au niveau de l'aperçu historique et de la pensée politique, il existe un consensus général mal défini sur le fait que la structure essentielle de toutes les civilisations a atteint un point de rupture. Bien qu'il puisse sembler mieux préservé dans certaines parties du monde que dans d'autres, il ne peut procurer l'orientation vers les possibilités du siècle ou une réponse adéquate à ses horreurs. L'espoir désespéré et la peur désespérée semblent souvent plus proches du centre de ces événements qu'un jugement équilibré et un aperçu mesuré. Les événements centraux de notre temps n'en sont pas moins efficacement oubliés, autant par ceux engagés dans une croyance en une destruction inévitable, que par ceux qui ont cédé à un optimisme insouciant. [...]

Ce livre [...] a été écrit avec la conviction qu'il serait possible de découvrir les mécanismes cachés par lesquels tous les éléments traditionnels de notre monde politique et spirituel se retrouvèrent dissous dans un conglomérat où tout semble avoir perdu une valeur spécifique, au point d'en être devenu méconnaissable pour la compréhension humaine, et inutilisable dans des buts humanitaires. Céder au simple processus de désintégration est devenu une tentation irrésistible, non seulement parce qu'elle a assumé la fausse grandeur de la « nécessité historique, » mais aussi parce que tout en dehors d'elle a commencé à apparaître sans vie, exsangue, dénué de sens, et irréel.

La conviction que tout ce qui arrive sur terre doit être compréhensible à l'homme peut mener à interpréter l'histoire par des lieux communs. La compréhension ne signifie pas nier le scandaleux, déduire le sans précédent des précédents, ou expliquer les phénomènes par des analogies et généralités telles que l'impact de la réalité et le choc de l'expérience ne sont plus ressentis. Cela veut dire plutôt examiner et porter consciemment le fardeau que notre siècle a placé sur nous - sans nier son existence, ni se soumettre docilement à son poids. La compréhension, en bref, signifie l'attention non préméditée faisant face à... la réalité.

Dans ce sens, il doit être possible de faire face et de comprendre le fait scandaleux qu'un phénomène aussi localisé (et en politique mondiale si peu important) que la question juive et l'antisémitisme pourraient devenir un agent catalyseur, d'abord pour le mouvement nazi, puis pour une guerre mondiale, et finalement l'établissement d'usines de mort. [...] ou la contradiction curieuse entre le « réalisme » cynique déclaré des mouvements totalitaires et leur dédain ostentatoire de toute la texture de la réalité. [...]

La tentative totalitaire de la conquête globale et la domination totale a été la voie destructrice de toutes les impasses. Sa victoire peut coïncider avec la destruction de l'humanité ; partout où elle a dirigé, elle a commencé à détruire l'essence de l'homme. (Hannah Arendt, Summer, 1950) »

Les commentaires et les observations d'Hannah sur notre monde, extirpés de ses propres douleurs et expériences, n'ont jamais été plus poignants qu'aujourd'hui quand nous faisons face à exactement ce qu'elle décrivait : le Totalitarisme Global montant comme une force destructrice avec la fin de l'humanité en vue. Et jamais nous n'avons constaté plus clairement cette caractéristique du type autoritaire qu'Hannah a vécu aussi : « « réalisme cynique » déclaré et... dédain ostentatoire de toute la texture de la réalité. » Si vous voulez voir un portrait étonnant de ce type d'individu, procurez-vous un exemplaire de « Lions et Agneaux » et regardez Tom Cruise réaliser une performance si plausible qu'on en éprouve la chair de poule.

Ici à SOTT nous discutons régulièrement du problème de la déviance pathologique et de la manière dont la pathologie peut conduire un individu à chercher le pouvoir sur les autres. Nous avons mis en avant l'ouvrage d'Andrzej Lobaczwewski, « Ponérologie Politique », et cela dans un cadre où l'histoire du mal - particulièrement le mal politique - peut être compris.

Pour autant que je puisse en juger, Hannah Arendt n'a pas considéré les problèmes de la pathologie ni comment elle opère dans la société en tant qu'élément corrupteur, et pas davantage le facteur indiquant que le judaïsme et ses descendants, le christianisme et l'islam, puissent être les porteurs de la maladie du totalitarisme. Dans ce sens, il est vraiment important d'apprendre à connaître la manière dont les religions sont créées, par qui - généralement des déviants pathologiques - et comment elles sont utilisées, combinées avec la politique, pour contrôler les masses.

Cela nous ramène bien sûr au problème des comètes dans nos cieux et leurs impacts sur notre planète.

Il se trouve qu'après avoir tiré tant de fils reliés à ce sujet, il me vient à l'esprit que les comètes peuvent, en effet, avoir un rapport avec le problème social majeur sur notre planète : les psychopathes.

On pourrait raisonnablement demander : Un processus évolutionnaire est-il à l'œuvre dans ce domaine ? Il est clair qu'un nombre exponentiel de gens meurent, de façon inexorable, quand ils placent leur confiance dans les mensonges et les menteurs. Et il arrive presque aussi souvent que les manipulateurs au pouvoir se retrouvent eux-mêmes dans des situations difficiles par suite de leur ambition et de leur ignorance des faits. Manifestement, si l'évolution est à l'œuvre dans ce cas, ces individus - et leur descendance, qui croient aux mensonges, seront finalement éliminés du patrimoine héréditaire.

Qu'est-ce qui arrive à ceux qui, comme le suggère Arendt, essaient de comprendre et de faire face aux faits de notre réalité, restent à voir.

Mais ainsi qu'elle le déclare aussi, cette compréhension ne doit pas nier le scandaleux, ni essayer de déduire le sans précédent des précédents.

Voyez-vous, évolutionnairement parlant, les psychopathes ne devraient pas exister.

Tout au long de l'histoire, on peut constater que les hommes ont eu besoin de coopérer et de prendre soin les uns des autres dans le but de survivre et de produire une nouvelle génération qui continuerait les processus de la société. La plupart des dynamiques humaines sont fondées sur des gens qui essaient de solutionner leurs problèmes et d'aboutir à des résolutions agréables au plus grand nombre, ou à tout le moins, dans les interactions entre deux personnes . La question de confiance est primordiale. Quelqu'un qui trahit votre confiance est quelqu'un avec qui vous ne pouvez ni vivre ni travailler. Donc les psychopathes à qui on ne peut pas faire confiance, auraient dû s'éteindre depuis longtemps. Mais ce n'est pas ainsi que sont les choses. Il semble en fait que la psychopathie ait augmenté !

Comme nous pouvons l'observer tout au long de l'histoire jusqu'à aujourd'hui, être le seul psychopathe dans un groupe de gens de confiance peut être une très bonne chose pour le psychopathe. Quand les groupes grandissent, ils peuvent en accueillir davantage. Il semble que quand le nombre de personnes portant le gène du psychopathe est assez petit, les quelques-uns qui le portent peuvent atteindre un succès phénoménal de reproduction. Comme Glenn Whitman l'explique :

« Ce qu'il y a de bien avec cette explication est que non seulement elle explique pourquoi les psychopathes existent, mais aussi pourquoi nous ne sommes pas tous des psychopathes. S'il y a assez peu de psychopathes dans la population, alors en être un se révèle logique parce que vous aurez principalement des confrontations gagnantes avec les gens biens. Mais s'il a trop de psychopathes, alors les gains dus aux avantages gagnés sur les gens biens seront noyés par les pertes dues aux confrontations avec les autres psychopathes. À l'équilibre, vous aurez à la fois des « psys » et des gens biens, avec chaque stratégie générant approximativement des retours égaux, et l'équilibre précis déterminé par les règlements relatifs des différentes interactions.

Le problème est, comme nous venons de le dire, que nous vivons à une époque où la psychopathie semble avoir augmenté de manière exponentielle. En outre, comme le note Hannah Arendt - et cela n'a jamais été plus vrai qu'aujourd'hui - l'élan de l'histoire indique que les psychopathes sont gagnants et cela signifie la destruction pour tous, y compris pour eux-mêmes...

Ce qui nous amène au problème suivant : la psychopathie étant ce qu'elle est et faisant ce qu'elle fait, devrait certainement avoir amené la race humaine à la destruction totale il y a longtemps SI, comme une classification, elle avait existé tout au long du développement de l'humanité. Et cela suggère que ce n'est pas le cas. En fait, les études de Marija Gimbutas montrent qu'il y eut un temps où la psychopathie n'était pas « au sommet. »

Aussi loin que nous pouvons remonter à l'aide des archives archéologiques, c'est-à-dire la « science dure, » nous trouvons que l'adoration de la Grande Déesse Céleste était l'acte de vénération de l'Univers et tout à l'intérieur d'elle comme le corps vivant de la Déesse-Mère-Créatrice. Cette déesse était symbolisée par les doubles lignes ondulées de l'eau - à la fois la mère cosmique du potentiel/activation, de même que l'humidité donnant vie qui émanait du corps de la déesse et de toutes les femmes en tant que ses représentantes sur terre, dans les océans et les mers, rivières, sources et puits.

Elle était la Déesse du Ciel et la Terre était sa matrice et tout ce qui était sur elle étaient ses enfants. Le « Dieu-Soleil/Fils » mourait chaque année et renaissait au passage des saisons. Les rites et les rituels étaient exécutés pour assurer la renaissance du « Fils-Soleil » par la « matrice de la Terre, » l'organe générateur de la Mère Cosmique. Il y avait une pureté et une innocence... une simplicité et une symétrie pastorales, arcadiennes à la vie. Les hommes et les femmes étaient égaux en importance comme les « Jumeaux » de la Déesse.

Les femmes étaient honorées et chéries dans leurs trois manifestations : la vierge-future-mère ; la mère- nourricière ; et la vieille « mère de sagesse ». Les hommes étaient des partenaires et des protecteurs des femmes, de ce fait des protecteurs de leur propre être puisque tous étaient mis au monde et allaités par les femmes. L'énergie mâle servait la femme parce que la femme servait l'homme ; il y avait une énergie, une synergie, une symétrie et un équilibre cycliques.

Les lignes ondulées de l'eau, la Mer Cosmique de la Mère furent à un certain moment, corrompues par le symbole du serpent, la femme devint associée au serpent au lieu de le rester aux Étoiles ; et tout commença à se détériorer à partir de là. Cet événement est décrit dans la Genèse 3 :19 où Yahweh dit à Adam : « À la sueur de ton visage tu mangeras ton pain, jusqu'à ce que tu retournes au sol, puisque tu en fus tiré. Car tu es poussière et tu retourneras en poussière. »

Ici, la « poussière » ou la Terre, est dénigrée et insultée comme étant sans valeur dans le même passage que la femme est dénigrée et insultée comme la tentatrice. Mais, dans les religions de la Déesse pré-existantes, la terre d'où vient toute vie n'est PAS de la poussière, mais est vivante - comme la matrice de la Déesse elle-même ! Et à en juger par les preuves massives collectées par Marija Gimbutas, c'était le plus ancien et le plus répandu des schémas de pensée au monde, antécédent et sous-jacent à tous les autres mythes, pré- datant de nombreux milliers d'années les panthéons dominés par les hommes!

Le thème principal du symbolisme de la Déesse est le mystère de la naissance et de la mort et le renouveau de la vie, pas seulement humains, mais de toute vie sur terre et évidemment, dans tout le cosmos. Le groupe de symboles et d'images autour de la Déesse parthénogénétique et ses fonctions fondamentales comme Donneuse de Vie, Contrôleuse de la Mort, et pas moins important, en tant que Régénératrice, et autour de la Terre Mère, la Déesse de la Fertilité jeune et vieille, croissant et mourant avec la vie des plantes. Elle était la seule source de toute vie qui prend son énergie des sources et des puits, du soleil, de la lune et de la terre humide. Ce système symbolique représente un temps cyclique, non linéaire. Dans l'art, cela est manifesté par les signes du mouvement dynamique : des spirales tourbillonnantes ... » [Gimbutas, 1989]

À un certain moment, la déesse, ou source d'humidité et de toute vie, fut identifiée avec le serpent-en-tant-que-tentateur et devint « la mauvaise Tentatrice » elle-même. C'est difficile de démêler les fils des systèmes symboliques actuellement connus. On en connaît maintenant deux : un reflétant une culture matriarcale-serpent, et l'autre une culture phallocrato-militaro-serpent. L'homme et la femme qui étaient jadis unis comme les « Jumeaux de la Création » d'origine, et qui, dans leur union pouvaient « contrôler » le serpent, devinrent opposés l'un à l'autre ; déséquilibrés, antagonistes, non plus partenaires. Le bienveillant « Fils-Roi, » le chef du troupeau, n'était plus soutenu par l'énergie féminine, canalisée de la Déesse par « l'Arbre, » dans le corps de la représentante de la Déesse sur Terre, la Femme, mais au lieu de cela devint le tueur masculin du serpent ET le contrôleur/oppresseur de la Déesse, qui devint l'exemplification de la tentation et l'escorteur occasionnel du serpent !

À un certain moment, les anciens ont dit qu'Ève a trahi Adam, Caïn a tué son frère Abel, et la psychopathie fut lâchée sur notre planète.

Qui était ce serpent ? Quels sont les indices qui désignent son apparition sur la scène ? Où ? Quand ?

S'il n'y avait pas eu l'impact cométaire à Tunguska il y a cent ans aujourd'hui, et ensuite les impacts de Shoemaker-Levy sur Jupiter quatre-vingt six ans plus tard, notre attention ne serait pas attirée par certains aspects de notre histoire qui ont été totalement dissimulés, ni les effets de ces mensonges et distorsions sur notre monde aujourd'hui. En quelque sorte, les psychopathes et les comètes sont inextricablement liés ; il est même possible que les mêmes forces cosmiques qui ont envoyé les comètes vers nous aient aussi « créé » les psychopathes. C'est ce que je veux explorer dans les derniers épisodes de cette série d'articles.

Restez à l'écoute, notre prochain arrêt est la fin de la dernière ère glaciaire quand le Serpent Cosmique est apparu sur la scène et quand les processus qui ont conduit à notre implication dans la Sixième Extinction se sont mis en route.

[1] Traduction de Michel Cabar - Ed. Le Jardin des Livres

Laura Knight-Jadczyk 

Floridienne de septième génération, historienne/mystique, auteur de 14 livres et de nombres d'articles publiés sur papier et sur Internet, Laura Knight-Jadczyk est la fondatrice de Sott.net et l'inspiratrice de l'Expérience cassiopéenne. Elle vit en France avec son mari, le physicien mathématicien polonais Arkadiusz Jadczyk, quatre de ses cinq enfants, sa famille élargie, huit chiens, cinq oiseaux et un chat.

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Date de dernière mise à jour : 21/01/2020

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