DEVRAIT ETRE MEDITEE PLUTOT QUE LUE - 1

CHRIST REVIENT – IL DIT SA VERITE - LETTRE 2 - 1

Je suis le CHRIST

Pendant que j’agis depuis les royaumes suprêmes de la CONSCIENCE CREATRICE DIVINE, mon influence entoure votre monde.

Pour parler en métaphores, je suis, en « conscience » aussi distant de votre monde que votre soleil de la Terre. Pourtant, si vous faites sincèrement appel à moi, je suis là, aussi près de vous que nécessaire, pour vous aider.

Beaucoup de gens seront incapables d’accepter ces LETTRES. C’est qu’ils ne sont pas encore prêts.

Il y en aura qui essaieront d’étouffer leur existence, car l’enseignement menacera leur manière de vivre ou leur religion. Ils n’y arriveront pas. Les LETTRES se verront renforcées par l’opposition.

D’autres recevront ces LETTRES avec joie, car en leur âme, ils savent que derrière les religions du monde gît la VERITE – REALITE de l’existence. Ce sont ces gens qui prospéreront et finiront par sauver le monde de son anéantissement.

Je vais maintenant reprendre mon « autobiographie » là où je l’ai laissée ans ma précédente LETTRE. Mon but, en vous donnant quelques détails biographiques de mon entrée dans la vie publique en tant qu’enseignant et guérisseur, est que mon attitude et mon comportement juvéniles vous soient rendus vivants, ainsi que les circonstances dans lesquelles j’ai atteint ma condition humaine spiritualisée.

Il est important que vous arriviez à visualiser la Palestine telle qu’elle était quand je vivais sur Terre et à voir clairement les conflits internes que mes enseignements ont suscités chez les gens qui étaient endoctrinés par les croyances et les rites traditionnels juifs.

Ces conflits trouvent leur source dans l’incapacité des évangélistes à rapporter précisément tout ce que j’ai tenté de leur enseigner.

Dans les évangiles se trouvent de fréquentes références à mes paraboles décrivant la réalité du Royaume des Cieux ou du Royaume de Dieu, quel que soit le nom que lui donnèrent les évangélistes, mais il n’a été tenté nulle part de saisir le sens profond de ces paroles, d’en explorer la rhétorique ou d’en retirer la signification spirituelle du Royaume de Dieu ou du Royaume des Cieux.

Lorsque j’aurai parlé des véritables sermons que j’ai délivrés à la foule, vous serez capable, à la lumière de mes expériences dans le désert et de votre connaissance de faits scientifiques, de comprendre finalement un peu de ce que je tentais d’enseigner alors.

Comme mon succès a été plus que limité, il est impératif qu’une autre tentative soit faite au début de ce nouvel âge, de ce millénaire, puisque c’est sur ma connaissance spirituelle suprême et privilégiée que se fondera et se développera ce nouvel âge.

Il était – et il est encore – essentiel pour un Maître tel que moi – ainsi que d’autres – suprasensible et totalement voué, mentalement et émotionnellement, à la recherche de la Vérité Existentielle, de venir sur terre pour INVENTER DES MOTS, afin de décrire aux habitants de la terre, emprisonnés dans les mots, ce qui réside dans la DIMENSION CREATRICE UNIVERSELLE dans un état non matérialisé. S’il n’existait pas de tels Maîtres inspirés, les habitants de la Terre resteraient dans l’ignorance de tout ce qui gît derrière la réalité de la Terre – prêt a être contacté et à être personnellement expérimenté et absorbé pour la promotion de l’évolution spirituelle future.

Et plus encore : la Bible est réputée pour être le livre le plus lu au monde. Dans sa forme présente, elle a largement rempli son but. Le Nouveau Testament, tel qu’il est, avec tout son bagage de mauvaises interprétations, décourage l’évolution spirituelle. Il est temps d’avancer maintenant dans un nouveau royaume de perception mystique et de compréhension.

Etant donné qu’il m’est impossible de redescendre dans un corps humain pour parler au monde et que mon ministère s’étend à d’autres dimensions, j’ai entraîné une âme sensible à recevoir et à transcrire. C’est ce que je peux faire de mieux pour vous parler personnellement. J’espère que vous pourrez recevoir mon message et l’accepter.

Ce qui est erroné de la transcription est effacé. Vous pouvez en être sûr.

Les incidents et guérisons que je relate dans les pages qui suivent ne sont pas importants. Ils se sont produits mais je ne vous les raconte que pour vous permettre de comprendre leur réelle signification spirituelle.

J’aimerais qu’en les lisant, vous vous référiez aux conditions qui régnaient il ya 2000 ans. J’aimerais que vous considériez la personne de « Jésus » comme un exemple de ce que peut finalement accomplir chaque être humain qui est prêt et qui veut devenir membre fondateur du « royaume des cieux » sur Terre.

Bien que les habitants actuels de la planètes soient ce que vous appelleriez raffinés, gonflés de l’importance de leurs connaissances et de l’enseignement modernes, experts en matière de comportements et de relations contemporaines, fondamentalement, les gens de ce temps-là étaient pareils à vous.

Ils étaient entièrement mûs par leurs IMPULSIONS JUMELLES d’

Attirance – Rejet

Désirs – Répulsions

Et sous leur contrôle tout comme vous.

Ils aimaient, haïssaient, critiquaient, condamnaient, calomniaient et médisaient, ambitionnaient d’arriver au haut de l’échelle sociale, méprisants les ratés, fainéantaient en douce, comme vous diriez, et injuriaient ceux qui étaient, de quelque façon que ce soit, différents d’eux.

Pour vous aider à bien comprendre et à pénétrer dans cette époque où j’étais sur Terre, ma « conscience » s’abaisse jusqu’à votre plan d’existence terrestre pour vivre de nouveau la « personne » de « Jésus » et les émotions et événements dans lesquels je fus impliqué.

Quand je quittai le désert et me mis à marcher sur la route menant à mon village de Nazareth, j’étais encore exalté et la connaissance qui m’avait été révélée si glorieusement dans le déserte remplissait d’une joie exubérante. Je me concentrais complètement sur ce que j’avais appris et si mes pensées s’égaraient vers mes pensées négatives d’autrefois, je me tournais rapidement ver le « Père » pour recevoir l’inspiration et la détermination suffisante pour les surmonter.

Ainsi, je retournais constamment vers la Lumière de la sagesse et de la compréhension.

Quelques personnes me regardèrent de travers en voyant ma joie en même temps que mon apparence sale et hirsute. Etait-ce la boisson qui me rendait joyeux, se demandaient-ils ? D’autres me regardèrent d’un air dégoûté. Au lieu de réagir comme autrefois avec colère, je me souvins que j’étais béni d’avoir reçu des visions et une connaissance qu’ils ne pouvaient même pas imaginer. Je les bénis et priai pour que leur vision intérieure s’ouvre de même, et continuai en paix mon chemin chez moi.

Il eut cependant des villageois qui regardèrent mon état pitoyable avec compassion et se hâtèrent d’aller me chercher du pain et même du vin pour m’aider à continuer ma route. Il y avait toujours quelqu’un qui m’offrait le gîte pour la nuit. La « Vie Père » pourvoyait vraiment à tous mes besoins et me fournissait toute la protection voulue.

Pendant ce temps, je ne dis mot de mes semaines dans le désert. Je sentais que le temps n’était pas encore venu.

Finalement, j’atteignis Nazareth, la ville où j’habitais, et les villageois se moquèrent ouvertement de moi, désignant ma saleté et mes habits en loques.

« Sale bon à rien » furent les mots les plus gentils qu’on me jeta à la figure.

J’arrivai chez ma mère en redoutant qu’elle soit encore plus choquée que ses voisins en me voyant si maigre, la peau sur les os, les yeux battus et les joues creuses, le visage brûlé par le soleil et les lèvres crevassées, la barbe longue et hirsute. Mes habits ! Elle allait s’outrager à la vue de mes habits, déchirés et en lambeaux, dont la couleur disparaissait sous la poussière du désert !

Je grimpai les escaliers et pris mon courage à deux mains pour affronter la furie de ma mère. Lorsque je frappai, ma sœur vint ouvrir la porte. Elle me regarda, bouche bée, les yeux exorbités, puis me claqua la porte au nez. Je l’entendis courir vers le fond de la maison en hurlant :

Maman, viens vite, il y a un vieux bonhomme tout sale à la porte.

Je pus entendre ma mère la sermonner à voix basse en se hâtant vers la porte. L’ouvrant brusquement, elle resta clouée sur place par le choc. Je souris mais pendant un moment, elle me regarda de haut en bas, de plus en plus horrifiée à l’idée que cette horreur de créature était bel et bien sa tête brulée de fils, Jésus.

Je lui tendis la main en lui disant :

  • Je sais que je te cause de la peine, mais pourrais-tu m’aider ?

Immédiatement, son expression changea et m’attirant à l’intérieur, elle referma la porte.

  • Vite, dit-elle à ma sœur effrayée. Cesse de crier et mets de l’eau à bouillir.

Ton frère meurt de faim. Peu importe les ennuis qu’il s’est attirés, il est de la famille. Il faut le soigner.

Doucement, elle m’aida à enlever mes habits, me pencha au-dessus d’un baquet d’eau et me lava. Elle lava et coupa ma barbe et mes cheveux et recouvrit délicatement mon corps et mes lèvres d’un baume bienfaisant. Nous ne rompîmes le silence ni l’un ni l’autre.

Je savourais l’amour qu’elle me témoignait et tentai de montrer ma gratitude par une approche plus douce et sensible.

M’ayant aidé à revêtir des habits propres, elle m’assit devant un repas frugal de pain, de miel et de lait.

A contre-cœur, elle me servit du vin afin de me redonner des forces, mais il était visible qu’elle pensait que c’était le vin qui était la cause de mon état.

Puis elle me conduisit vers un lit et me recouvrit d’une couverture. Je dormis pendant plusieurs heures et me réveillai frais et dispos par une matinée ensoleillée que je voyais à travers la fenêtre.

J’étais maintenant impatient de parler à ma mère, de lui dire que j’étais vraiment le Messie, mais pas du tout du genre qu’imaginaient les Juifs. Je pouvais sauver les gens des conséquences de leurs « péchés ». Je pouvais les aider à recouvrer la santé, l’abondance, la satisfaction de leurs besoins, parce que je pouvais maintenant leur enseigner exactement comment le monde avait été créé.

Pendant que j’essayais de lui raconter, elle commença à être toute excitée et pleine d’enthousiasme. Elle sauta sur ses pieds et voulut courir au-dehors pour le raconter aux voisins. Son fils était vraiment le Messie – il faudrait qu’ils entendent comme il parlait bien maintenant – et il avait jeuné dans le désert ! Mais je l’arrêtai aussitôt. Je lui dis que je ne lui avais pas encore raconté ce qui m’avait été révélé. L’une des choses les plus importants que j’avais apprises était que les juifs orthodoxes étaient complètement dans l’erreur en croyant en un « dieu » vengeur, il n’existait rien de tel.

Ces mots l’effrayèrent et la fâchèrent et elle s’exclama :

Et comment Jéhovah va-t-il gouverner le monde, nous rendre meilleurs et nous faire écouter ses prophètes, s’il ne nous punit pas ? Es-tu maintenant devenu si arrogant que tu vas dire aux Grands Prêtres ce qu’ils doivent faire et qui leur a été transmis depuis le temps de Moïse ? Vas-tu jeter encore plus d’opprobre sur cette maison ?

Elle se mit à pleurer, disant avec colère :

-Tu n’as pas changé du tout, Tu n’as changé qu’en paroles. Tu ne me crées que des soucis. Comment ai-je pu croire que tu étais le Messie ? Tu ne feras qu’amener les gens à de plus grands tourments avec tes idées bizarres.

Mes frères, entendant ses lamentations, accoururent en faisant mine de me jeter dehors. Comme je ne voulais pas d’ennuis, j’offris de partir par gain de paix.

Si c’était là la réaction de ma mère, je pouvais être sûr que tous les autres réagiraient de la même manière à ce que je voulais leur dire. Je réalisai que j’avais besoin d’un certain temps de repos et de silence absolus où je pourrais rassembler mes pensées et mes expériences. Il fallait que je prie pour recevoir de l’inspiration sur la manière d’approcher le mieux possible les Juifs avec mon message de « bonne nouvelle », J’étais sûr que la « Vie Père » répondrait à mes besoins, et que je trouverais un logement adéquat quelque part. Ma mère, bien que furieuse de mon attitude apparemment « arrogante », n’en était pas moins déchirée par son sentiment d’amour et de compassion pour mon aspect décharné. Elle rejetait tout ce qu’il lui semblait compter pour moi, ma révolte, mon mépris pour la religion juive, mon attitude contestataire envers les autorités, mon égoïsme et mon arrogance, mais elle m’aimait tout de même et s’inquiétait terriblement de me voir cette fois me mettre dans des difficultés vraiment impossibles.

Ele admonesta mes frères, leur enjoignant de se taire et se tourna vers moi :

-Tu peux rester jusqu’à ce que tu ailles mieux.

-Pendant que ru es là, ajouta-t-elle, je pourrai peut-^tre te faire entendre raison. Je peux te le dire maintenant, si tu sors dans la rue et commence à parler comme tu m’as parlé, tu finiras dans un état encore pire qu’avant. Les bonnes gens te cracheront au visage et te jetteront des ordures. Tu es une honte pour ta famille.

Et donc, malgré sa colère, je ris, la remerciai et l’embrassai affectueusement. Heureux, je restai avec elle, sachant pertinemment que derrière sa colère, elle s’inquiétait beaucoup pour moi. Elle me nourrit bien et me confectionna de beaux habits neufs. J’appréciais tout ce qu’elle faisait pour améliorer mon apparence, car je savais que pour évoluer librement parmi les riches et les pauvres, je devais être habillé correctement, porter des vêtements décents.

Parfois, la nourriture manquait à la maison. Alors, puisant dans la puissance de mon « Père », je la rapprovisionnais sans rien dire. Elle non plus. Je savais qu’elle se demandait tristement si à toutes mes mauvaises habitudes, j’avais encore ajouté celle de voler.

Puis, un jour, elle m’attrapa, un pain « frais sorti du four » à la main, alors qu’elle savait que je n’étais pas sorti de la maison pour l’acheter et que le four n’avait pas été utilisé ce jour-là.

Elle ne dit rien, mais me jet un long regard songeur. Je pus voir son attitude changer. Elle n’était plus très sûre d’elle. Elle commençait à remettre en question son attitude envers moi, ainsi que la vérité de mes déclarations.

« Que lui est-il arrivé dans le désert ? Comment a-t-il pu faire du pain sans farine, sans levure et sans feu ? Que signifie tout cela ? Est-il le Messie ? »

Puis mon frère se cupa la main, il souffrit beaucoup quand la plaie s’envenima. Il me permit d’imposer les mains sur sa blessure en priant tranquillement. Je pouvais voir qu’il sentait la « Puissance » s’écouler dans sa main, parce qu’il me regarda bizarrement.

-La douleur a disparu, dit-il brièvement. Il s’éloigna d’un air maussade et je sus que pendant que je le soulageais de sa douleur, il ne m’aimait pas d’avoir été capable de l’aider. Je sentis sa jalousie.

Ma sœurs se brûla  la main  et un autre de mes frères se plaignit de forts maux de tête. Je pus les guérir tous les deux.

Mes frères et sœurs se mirent à plaisanter à propos de mes « pouvoirs magiques ». Ils me demandaient quel « mal » j’allais leur faire s’ils se fâchaient. La tension monta dans la maison et j’en ressentis de la tristesse pour ma mère qui avait tellement la envie de paix dans maisonnée.

Mais elle voyait des changements dans mon comportement et en fut réconfortée. J’étais plus tranquille, je maîtrisais mes emportements, contenais mon énergie, réprimais mon impatience, ne me disputais plus. J’étais devenu plus attentif, je l’écoutais bougonner en femme qu’elle était, l’aidais dans la maison en réparant les meubles abîmés et allais dans les collines, dans des fermes éloignées, pour trouver les fruits et les légumes qu’elle désirait.

J’en vins à l’aimer tendrement et avec compassion, comme on devrait aimer une mère.

Un jour, elle se risqua à me demander :

-Tu dis toujours que Jéhovah est un mythe ?

-Job a dit que si Jéhovah devait retenir son souffle, toute chair s’effondrerait. Voilà le Jéhovah en qui je crois et que j’ai vu.

- Personne n’a vu Jéhovah, dit-elle fermement.

J’ai vu CE qui crée toutes choses, répliquai-je tranquillement. Je l’appelle le « Père » parce que c’est L’AMOUR PARFAIT : UN AMOUR plus parfait que l’amour maternel, ajoutai-je en lui souriant. IL œuvre en toute chose, à travers et pour toute SA création. C’est le « Père » en moi qui t’a apporté les choses dont tu avais besoin dans la maison et qui a guéri mes frères et sœurs si rapidement.

Je vis qu’elle commençait à comprendre vaguement ce que je disais.

-Qu’en est-il du péché, demanda-t-elle ?

-Le péché n’existe pas tel que nous le comprenons. Nous naissons pour agir comme nous le faisons. Nous devons trouver le moyen de surmonter nos pensées et sentiments humains, car ils nous séparent de la protection du « Père » et nous apportent maladie et misère. Lorsque nous aurons appris à surmonter « l’ego », nous entrerons dans le Royaume des Cieux.

Ma mère se détourna silencieusement, réfléchissant manifestement à ce que je lui disais, mais elle n’était pas fâchée. Je sus qu’elle pensait à mes déclarations et réalisait qu’elles allaient bouleverser le monde sécurisant qu’elle connaissait. Sans sa croyance en un Jéhovah menaçant l’humanité désobéissante de sa pire vengeance, elle se sentait perdue et dans l’insécurité. Elle se demandait comment le monde allait tourner s’il dépensait uniquement des hommes de contrôler leurs mauvaises actions et celles d’autrui. Même les rois et les gouverneurs faisaient de mauvaises actions. Sans Jéhovah pour régner et punir les pécheurs, où tout cela s’arrêterait-il ?

Demain la suite - LETTRE 2 - 2

Cet article vous a-t-il été utile ? Partagez-le avec vos amis ! Sur Facebook ou autres - voir ci-dessous. Ou donnez leur l'URL de ce site :

 http://www.messagere.e-monsite.com 

Lignede3 2

Retour à la page d'accueil et au menu - ou -  Message suivant 

 

Date de dernière mise à jour : 24/10/2020

Ajouter un commentaire

Anti-spam