CHRIST REVIENT – IL DIT SA VERITE – F - 7 - LETTRE 9 – 1

Moi, le CHRIST, je viens par le moyen de ces LETTRES parce que je ne peux revenir dans une forme corporelle – ou reprendre une personnalité humaine, vu que je réside dans – et possède, moi-même – une fréquence vibratoire de conscience si fine et élevée qu’aucune forme physique ne pourrait contenir ma conscience spirituelle.

Le seul moyen par lequel je peux vous atteindre est de passer par l’intermédiaire d’un être humain – sensible, clair-audient, obéissant et consacré à « Dieu », né pour être le canal par lequel j’ai pu observer le tumulte de sa vie active et mouvementée ainsi que les événement mondiaux.

J’ai ainsi pu examiner intimement le conflit et la douleur, inconnus dans les siècles passés, parce que les découvertes scientifiques et technologiques et la diminution de la moralité et des valeurs conventionnelles entraînent de nouvelles conditions très stressantes de la vie moderne et de nouvelles relations humaines entre les hommes.

Par l’intermédiaire de cet esprit flexible, la condition humaine moderne m’est devenue accessible dans une certaine mesure.

Sans cette connaissance de l’expérience humaine, ces Lettres n’auraient pas pu être écrites dans une forme qui se voulait utile à la condition humaine de cette époque.

Le processus d’adombrement (voir note ci-dessous) partiel a commencé avant sa naissance et continué pendant sa jeunesse et tout au long de sa vie.

(Dans la terminologie de l’ésotérisme et plus particulièrement de la magie blanche, l’adombrement est un mode de possession par une entité spirituelle avancée avec le plein accord de l’entité ainsi adombrée. L’adombrement permettrait à l’entité d’éviter l’obligation de s’incarner, ce qui serait pénible voire, dans certains cas, impossible. Ce terme est surtout utilisé dans la littérature ésotérique (œuvres d’Alice Bailey, d’Héléna Blavatsky, d’Annie Besant, de Charles Leadbeater, et quelques autres auteurs).

En commençant par la déprogrammation minutieuse de son esprit et l’élimination complète de ses vieux concepts, ma « porte-parole » a été délibérément soumise à toutes sortes d’expériences humaines, témoignant ainsi des luttes et des souffrances qu’implique la vie moderne. Avec mes instructions, elle est sortie de ses nombreux et divers abîmes de détresse, culminant dans la mort de son égo et de son esclavage mental/émotionnel du matérialisme ; elle apprend à entrer dans les fréquences de conscience de l’amour universel et a fait l’expérience personnelle de la Réalité de la CONSCIENCE UNIVERSELLE…C’est ainsi qu’elle s’est suffisamment purifiée pour recevoir, de plus en plus clairement, mes enseignements à diffuser dans le monde.

Sous mon influence, elle s’est retirée de la vie sociale dans la solitude et l’isolement, est finalement devenue dépendante de moi pour sa « volonté de vivre » quotidienne et je travaille à travers sa totale disponibilité, minute par minute, à recevoir mes paroles chaque fois que ses énergies de conscience personnelles et les énergies cosmiques lui permettent de m’entendre et me recevoir. J’ai confiance en son honnêteté et en sa disposition à attendre de m’entendre précisément et je lui fais comprendre clairement quand c’est moi qui parle. Tant que je ne parle pas – elle est incapable d’écrire.

Je vous ai dit cela afin que vous puissiez comprendre à partir de quelles énergies de CONSCIENCE CHRISTIQUE ces Lettres ont pris forme.

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Je viens à nouveau dans cette Lettre pour rassembler tous les fils de mes huit autres LETTRES et les présenter DANS UN CONTEXTE MONDIAL, montrant à quel point ces enseignements sont appropriés dans chaque aspect de vos vies terrestres et pour toutes les nations.

Ces LETTRES sont écrites pour être une impulsion – un aiguillon – visant à une ouverture personnelle d’esprit et de cœur à votre SOURCE D’ÊTRE et finalement, pour devenir pour vous le moyen de comprendre parfaitement les effets de la pensée et du comportement individuels et de masse sur chaque facette de votre existence terrestre.

Alors que, dans le passé, les lois qui vous étaient données pour le comportement national étaient principalement formulées en interdiction : « Vous ne ferez… pas …si vous le faites – voilà ce que sera la pénalité », les vrais lois spirituelles sont totalement différentes.

Elles s’expriment comme suit :

« Etant donné que vous et votre place dans l’existence terrestre avez été créés de cette manière… si vous travaillez en harmonie avec les Lois de votre Existence… vous ouvrirez votre système tout entier, âme, esprit, émotions, corps et circonstances personnelles, à l’afflux constant de la Conscience Divine, votre Force de Vie. Les fruits de votre comportement en adéquation avec ces lois vous reviendront pour vous bénir et vous conférer santé, harmonie et prospérité. »

« Si, au contraire, vous ignorez ces Lois de l’Existence et continuez à vivre comme vous l’avez fait avant d’avoir reçu ce message, alors votre vie continuera à être ponctuée de troubles, de conditions climatiques difficiles, de parasites dans vos récolte, de désastres économiques, de famines et de tensions. »

Je parle à travers ces LETTRES spécialement pour vous permettre d’atteindre la paix intérieure vraie et durable, l’amour et la joie spirituels et la guérison intérieure de l’esprit, des émotions et du corps.

Vous devriez avoir compris à ce jour que c’était le but unique de ma dernière mission parmi les gens sur Terre – leur montrer comment ils créaient eux-mêmes leur propre misère.

Les églises « chrétiennes » vous ont appris que vous, qui avez été créés par « Dieu » devez « adorer et plaire à Dieu » en respectant ses Lois.

Mais ce n’est pas la vérité. Adorer Dieu est un rituel païen. Quand les gens « adorent Dieu », ils mettent « Dieu » à part et au-dessus d’eux – inaccessible et à craindre – car qui sait quel mal il pourrait envoyer sur Terre si les gens n’agissent pas selon sa volonté »

Mais ce n’est pas ce message que j’ai apporté à la Terre. J’ai parlé du « Père » qui subvenait à tous les besoins, répondait aux appels, guérissait quand on le lui demandait, qui était transcendant aux gens autant « qu’en eux », ce qui signifiait que le Créateur était universel.

La religion juive enseignait que seuls les Grands Prêtres pouvaient s’approcher du Saint des Saints et faire des supplications pour le peuple.

Le peuple ne pouvait s’approcher de Jéhovah que par l’intermédiaire des prêtres, en apportant des oiseaux et des animaux qui seraient offerts en holocauste pour apaiser Jéhovah pour « les péchés » des hommes. Par ces moyens, les Juifs obtenaient « le rachat des péchés ».

J’ai enseigné de manière répétée aux gens qu’ils recevraient le pardon « du Père » pour leurs péchés selon leur empressement à pardonner à autrui – car il leur serait fait selon ce qu’ils avaient eux-mêmes « semé ». J’ai aussi enseigné aux gens à s’approcher directement du « Père » et à prier en termes simples, demandant ce dont ils avaient besoin dans la vie et je leur assurais qu’ils seraient entendus et que leurs prières seraient exaucées, à condition qu’ils prient avec une foi totale – sans douter en leur esprit. Il faut que vous compreniez que tout ce que j’ai enseigné aux Juifs était en conflit et en opposition direct avec ce que leurs Dignitaires Religieux leur enseignaient, ce qui était la raison pour laquelle les Prêtres me détestaient – et m’ont crucifié, puisque je les privais de leur position élevée « de favoris personnels » du « Tout Puissant ».

Etant donné que, par crainte de représailles après ma mort, les disciples ne se sont pas entièrement libérés de l’Ancien Testament, une grande partie de la pensée de l’Ancien Testament a été reprise dans la religion « Chrétienne ».

Le corps et le sang de « Jésus » ont remplacé les sacrifices d’animaux offerts par les prêtres sur l’autel. Après de nombreuses années et l’accession de Rome au titre de protectrice de la religion « chrétienne », et comme les prêtres juifs avant elle, les prêtres « romains » se sont revêtus de vêtements de cérémonie coûteux et ont utilisé des accessoires d’argent et d’or pour les cérémonies religieuses.

Au temps de Paul, cela aurait été impensable. Son message était un message simple de « salut par ma mort sur la croix », ce qui n’était pas le message que j’ai apporté à mes concitoyens en Palestine. Il perpétuait la tradition juive du « sacrifice d’un autre pour payer ses propres péchés ». Quelle lâcheté honteuse ! Pourtant Paul a aussi rendu un grand service à l’humanité, puisque il a déclenché un mouvement qui allait être un moyen de bénir toutes les races également. Il a esquissé un mode de pensée et de conduite quotidienne qui apportait l’harmonie dans la vie de ceux qui essayaient de vivre selon ses enseignements.

Selon toute probabilité, quelques traditionalistes juifs rejetteront à nouveau bruyamment mes paroles à ma seconde venue, ils m’en voudront à cause de mes allusions constantes à la pratique juive antique de sacrifier des animaux et des oiseaux dans le Temple pour plaire à Dieu et obtenir la rémission des péchés, mais nonobstant leurs objections, le fait historique demeure que le Temple était un lieu où l’on offrait des holocaustes et leur odeur planait sur Jérusalem. Et pendant tout ce temps, je savais que tout l’édifice du Temple était consacré à un mythe, une invention tirée de l’imagination de l’homme, une rationalisation de ce que l’esprit de l’homme ne pouvait pas comprendre spirituellement.

J’y étais ! J’ai senti les pierres chaudes sous mes pieds chaussés de sandales et le soleil sur ma tête. Je me suis disputé avec les Pharisiens, j’ai support leurs moqueries et leurs sarcasmes avec un certain amusement et les ai observés enseigner dogmatiquement un mode de vie pesant, de soumission permanente à une tradition sans valeur concernant le manger et le boire, qui était complètement inutile ! J’y étais ! De temps en temps, mon amusement allumait une étincelle de malice dans mon esprit et je rendais aux Pharisiens la même sorte de moquerie analytique de leurs habitudes personnelles, de leurs vêtements ostentatoires et de leurs lois qu’ils m’adressaient, à moi et à mes enseignements.

« C’est un imbécile ! » disaient-ils en ridiculisant bruyamment ma déclaration « le Royaume de Dieu est en vous ».

« Dis-nous, comment « Dieu » pourrait-il être dans une personne, criaient-ils d’un ton moqueur ? »

Usant d’un barrage d’arguments dédaigneux, ils en appelaient aux prophètes et comparaient leur conception de Jehovah Tout-Puissant avec mes descriptions d’un « Père » simple qui veillait même sur les oiseaux. Comment pourrait-il être demandaient-ils, alors que les oiseaux étaient régulièrement sacrifiés dans le Temple pour le paiement des péchés des hommes ? Moïse aurait-il institué la pratique si sainte des holocaustes si es oiseaux et les bêtes avaient une quelconque importance aux yeux du Tout-Puissant ?

Je restais impassible devant leurs attaques verbales. Ils n’avaient que leurs convictions de la tradition juive pour soutenir leurs déclarations – alors que mon esprit avait été imprégné de la vraie connaissance de l’existence même pendant mes expériences d’illumination dans le désert. Il m’avait été donné la compréhension de l’universalité et de la BIENVEILLANCE créatrice du « Père » qui m’avait permis de percevoir et de faire des choses qu’aucun Grand Prêtre, Sadducéen ou scribe ne pourraient jamais faire.

Parce que je comprenais la nature de notre SOURCE DE L’ÊTRE, je pouvais, avec confiance, imposer les mains sur un homme estropié et le rendre à son intégrité. Qui pouvait mesurer cette connaissance aux lois traditionnelles ridicules des Prêtres ? Les Prêtres, les Pharisiens et tout le reste du fatras religieux savaient qu’aucun d’eux ne pouvait accomplir de telles choses – et c’est pour cette raison qu’ils me détestaient de défier leur autorité, qu’ils me détestaient pour ma force face à leur opposition et qu’ils m’insultaient pour avoir attiré les foules quand une guérison était faite que personne ne pouvait nier.

C’était là, c’était accompli au grand jour, tout le monde pouvait le voir – un acte d’amour dont les Prêtres disaient qu’il ne pouvait être accompli que par Dieu seul et que je devais donc être un enfant de Satan !

En outre, ils ne voyaient pas la guérison comme un acte d’amour mais plutôt comme une usurpation blasphématoire du rôle de « Dieu » - Ils m’accusaient de « faire étalage » de mes pouvoirs magiques, mais ne pouvaient pas me dire comment je me procurais de tels pouvoirs magiques, donc ils décidaient que je devais être un fils de Belzébuth.

Maintenant que j’ai expliqué la situation, il devrait maintenant vous être aussi clair, à vous qui lisez ces mots, que ce l’était pour moi à ce moment-là en Palestine – que la hiérarchie tout entière du judaïsme était composée d’hommes égocentriques, suffisants, présomptueux, qui ne vivaient que selon des règles et des lois. Lorsqu’ils étaient mis au défit d’utiliser leur esprit, leur intelligence, ils ne pouvaient y faire face, mais cédaient à des sursauts hyper-émotionnels d’indignation virulente. Faut-il alors s’étonner que, lorsque je fus porté devant leur conseil, je gardai ma paix et refusai de communiquer avec des esprits aussi obtus ?

Oui, j’étais vraiment là, en Palestine, il y a 2000 ans. J’ai vécu parmi les hommes et les femmes ordinaires à qui on avait appris à craindre Jéhovah d’une façon très réelle ; qui étaient obsédés par le paiement par des holocaustes, pour parer à la punition de leurs péchés. J’ai été élevé, endoctriné dans la crainte de Jéhovah – mais j’étais né pour sortir les Juifs de leur long sommeil dans les mythes et les croyances erronées – pour les libérer d’une histoire lourde de guerres et de carnages, de bagarres et de disputes, de la tradition d’exiger une tête pour la perte d’un œil, de cacher et mettre sous le tapis les péchés qui n’avaient aucune importance s’ils n’étaient pas découverts. Si le pécheur était découvert, alors le poids entier de la Loi mosaïque descendait sur sa tête, sans compassion ni pitié, ni même la moindre pensée hésitante quant aux vraies circonstances de la transgression.

Du fait que j’étais né avec la mission d’ouvrir les esprits et les cœurs des Juifs à la Réalité qui leur avait donné la vie et l’être, j’ai rejeté déjà dès ma jeunesse les enseignements juifs. Quelque profondeur secrète de mon instinct spirituel se rebellait contre l’intention séculaire des Juifs de laisser quelque autre être vivant porter la responsabilité et « payer le prix » de leur propre entêtement et leurs péchés. Même plus que cela, je ne pouvais pas accepter que « Dieu », qui était censé avoir créé un monde si merveilleux, se réjouît des holocaustes d’animaux qu’il avait lui-même créés et pour lesquels il pourvoyait en abondance.

Je trouvais impossible des respecter de telles croyances et pratique illogiques. Après mon illumination dans le désert, je suis devenu passionné dans mon rejet des traditions juives.

De même que je suis entré dans un corps humain il y a 2000 ans, afin de sauver la nation juive d’un monument de pratiques religieuses fastidieuses et artificielles instituées par l’homme, de même, je viens, par les moyen de ces Lettres distribuées dans le monde entier, rappeler très clairement que « la Religion Chrétienne » ne reflète nullement mon vrai message CHRISTIQUE tel que je l’ai enseigné en Palestine, ou en ce moment, quand ces Lettres éveilleront la fureur et la condamnation de « chrétiens » orthodoxes. La religion chrétienne, telle qu’elle est en ce moment, n’est qu’un ramassis de pensées confuses provenant des souvenirs sélectifs de mes disciples, des homélies valables de Paul et d’autres écrits anciens.

Beaucoup plus tard, quand l’impact du christianisme n’a plus bénéficié de l’effet visuel des dieux et des déesses des Romains, la religion chrétienne s’est ornée de non-sens « théâtral » mais « opportun » pour impressionner ceux que l’Empire Ecclésiastique de Rome désirait attirer dans ses rangs. Plus tard, cet empire a imposé au peuple crédule des tributs monétaires encore plus iniques que les impôts que l’Empire romain laïque exigeait des nations conquises. Même César n’a pas exigé de paiement permettant aux âmes d’entrer au ciel !

Vous pouvez vous demander pourquoi je suis si explicite dans mon rejet du « judaïsme » et du « christianisme ». Il est essentiel pour le succès de la distribution de mon MESSAGE CHRISTIQUE que les gens comprennent entièrement la vrais nature des religions qui ont tenu l’humanité sous leur emprise jusqu’au vingtième siècle. Tant qu’ils ne se rendront pas vraiment compte des fondements mythiques sur lesquels ils ont basé toutes leurs convictions, les hommes trouveront difficiles de lâcher leurs croyances bien-aimées.

Comprenez s’il vous plaît que quand je fais de telles déclarations, je me réfère à « la religion chrétienne », aux « principes de la foi », au « dogmes » et à la « théologie ». Je ne me réfère pas aux grandes âmes spirituelles qui ont cherché – et continuent de chercher – Dieu et la vérité au-delà des dogmes et des croyances. Beaucoup d’entre celles-ci ont reçu mon inspiration dans leur esprit et leur cœur, mais ont peur de lâcher leurs précieuses croyances. Ils sont gênés par les pratiques religieuses. Le temps est venu pour eux de les abandonner et de croître dans la spiritualité et la conscience de leur vraie SOURCE DE L’ÊTRE et de prendre leurs congrégations avec eux.

Aux Eglises « Chrétiennes » de toute dénomination, je dis ‘Réveillez-vous ! ».

SUITE : LETTRE 9 - 2

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Date de dernière mise à jour : 12/01/2021

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