QUAND LA SCIENCE DEVIENT FOLLE : LES ÉMOTIONS HUMAINES SONT MAINTENANT TOUTES CONSIDÉRÉES COMME DES MALADIES

Dans le nouveau manuel américain de psychiatrie, le DSM-5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) de 2013, toutes les émotions humaines sont maintenant classées parmi les maladies.

L’industrie moderne de la psychiatrie est officiellement devenue folle. Quasiment toutes les émotions ressenties par un être humain – la tristesse, le remords, l’anxiété, la frustration, l’impatience, l’excitation, etc. – sont à présent classifiées comme des “troubles mentaux”

Voir aussi : Les élus déclarent que manger sainement est un trouble mental

La nouvelle “bible de la psychiatrie”, la DSM-5, s’est transformée en un aveu de la folie industrielle.

Les “troubles mentaux” diagnostiqués dans le DSM-5 incluent “l’anxiété généralisée”. L’anxiété généralisée peut être diagnostiquée chez une personne qui ressent un peu d’anxiété, par exemple parce qu’elle consulte un psychiatre.

Ainsi, un psychiatre peut impliquer que le fait que son patient le consulte est tout simplement la cause des “symptômes” de son diagnostic. Malin, n’est-ce pas ?

C’est ce qu’on appelle de la pseudo-science, ou un raisonnement circulaire. Et pourtant, c’est très représentatif de l’industrie de la psychiatrie, qui est devenue tellement risible au sein des cercles scientifiques que même les scientifiques sceptiques commencent à lui tourner le dos, par dégoût.

La psychiatrie n’est pas plus “scientifique” que l’astrologie ou la chiromancie (lecture des lignes de la main), et pourtant, ses praticiens s’arrogent le titre de “docteur” ès-psychiatrie, afin d’essayer de rendre cette pseudo-science crédible.

Comment la psychiatrie moderne fonctionne réellement

Un groupe d’intellectuels auto-suffisants et surpayés, en quête de plus d’argent qu’ils n’en ont déjà, vont inventer une maladie préfabriquée, à laquelle ils vont donner un nom à consonance scientifique.

Puis, à la suite d’un vote à main levée, ils vont voter selon les symptômes qu’ils veulent voir attribués à la maladie. En l’occurence, les symptômes peuvent être de chanter spontanément sous la douche, ou d’avoir la pulsion de se curer le nez de temps en temps.

Ils arrivent ensuite à convaincre les professeurs, journalistes et régulateurs du gouvernement, que cette maladie est réelle – et encore plus important, que des millions d’enfants en souffrent ! Alors, par compassion on ne peut que céder à leur requête d’offrir un traitement à ces enfants, n’est-ce pas ?

C’est ainsi que voit le jour la nécessité d’un traitement, à partir d’une maladie entièrement pré-fabriquée. A partir de là, c’est un jeu d’enfant de demander à Big Pharma de fabriquer des preuves pseudo-scientifiques dont ils ont besoin dans le but de “prouver” que les amphétamines, le crack ou n’importe quel autre poison qu’ils ont décidé de commercialiser “réduit les risques” de contracter cette maladie.

Les psychiatres d’apparence sérieuse – qui, dans les coulisses, se marrent à s’en rouler par terre – “diagnostiquent” ensuite cette maladie sur des enfants, et “prescrivent” les médicaments sur ordonnance qui sont sensés les guérir. Pour ces loyaux service, ces psychiatres – qui sont, admettons-le, de dangereux criminels – reçoivent de jolis pots-de-vin de la part de la part de Big Pharma.

Afin de maximiser leurs pots-de-vin et d’avoir des vacances et autres privilèges financés par Big Pharma, des rassemblements de ces “spécialistes” ont lieu tous les ans, afin d’inventer des maladies fictives, ce qui étend le domaine d’application de leur bible fictive, le DSM.

Le DSM est à présent plus volumineux que jamais, et inclut des troubles tels que le “trouble oppositionnel avec provocation“, qui consiste à refuser de suivre les ordres de quelqu’un et de faire le lèche-bottes. On dit aussi souvent des violeurs qui s’excitent pendant un viol, qu’ils sont atteints de “biastophilie”, et ne sont donc pas responsables de leurs actes. Heureusement qu’on peut leur proposer un traitement médical pour les soigner…

On peut aussi vous diagnostiquer comme étant atteint de la “syllogomanie”, si vous êtes surpris en train d’accumuler des réserves alimentaires, de l’eau et des munitions. Eh oui, se préparer à des catastrophes naturelles fait à présent de vous un malade mental aux yeux de la psychiatrie moderne (et du gouvernement, bien entendu).

L’ancien président du DSM s’excuse d’avoir créé de “fausses épidémies”

Allen Frances a présidé le DSM-4, paru en 1994. Il admet à présent que c’était une énorme erreur qui a résulté en une surabondance de diagnostics chez des personnes qui étaient en fait tout à fait normales. Le DSM-4 “… a, par inadvertance, contribué à trois fausses épidémies – le trouble du déficit de l’attention, l’autisme, et le trouble bipolaire infantile,” a écrit Allen dans un article du LA Times.

Voici ce qu’il y a écrit :

“LE PREMIER BROUILLON DE LA PROCHAINE ÉDITION DU DSM … EST REMPLIE DE SUGGESTIONS QUI MULTIPLIERAIENT NOS ERREURS, ET ÉTENDRAIENT LA PORTÉE DE LA PSYCHIATRIE DE FAÇON RADICALE, CE QUI RÉDUIRAIT DRASTIQUEMENT LE NOMBRES DE GENS NORMAUX. CETTE IMPÉRIALISATION MASSIVE DE LA NORMALITÉ POURRAIT POTENTIELLEMENT CRÉER DES DIZAINES DE MILLIONS DE SPECTATEURS INNOCENTS, MALADROITEMENT ÉTIQUETÉS COMME ÉTANT ATTEINTS DE TROUBLES MENTAUX. L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE S’EN DONNERAIT À COEUR JOIE – EN DÉPIT DU MANQUE DE PREUVES SOLIDES SUR L’EFFICACITÉ DES TRAITEMENTS POUR CES DIAGNOSTICS NOUVELLEMENT PROPOSÉS.”

Toutes ces maladies préfabriquées, bien sûr, résulteraient en un nombre grandissant de faux diagnostics positifs. Comme l’écrit Allen :

“LA ‘PHASE PRODROMIQUE‘ FERAIT USAGE DE LA PRÉSENCE D’UN RAISONNEMENT ÉTRANGE POUR PRÉDIRE QUI SERAIT SUSCEPTIBLE DE DÉVELOPPER, PLUS TARD, UNE PSYCHOSE. MAIS LA PRÉDICTION SERAIT FAUSSE AU MOINS TROIS OU QUATRE FOIS SUR CINQ – ET DE NOMBREUX ADOLESCENTS MAL DIAGNOSTIQUÉS POURRAIENT RECEVOIR DES TRAITEMENTS PROVOQUANT D’ÉNORMES PRISES DE POIDS, DU DIABÈTE, OU UNE DURÉE DE VIE RÉDUITE.”

Mais c’est le but ultime de la psychiatrie : prescrire des médicaments aux gens qui n’en ont pas besoin. Ceci s’accomplit presque entièrement par le biais du diagnostic de troubles qui n’existent pas.

Et le point culminant est que les psychiatres recevraient de l’argent qu’ils n’ont jamais gagné (et qu’ils ne méritent sûrement pas).

Imaginez : une industrie entière inventée à partir de rien ! Eh oui, vous devez bien vous l’imaginer, puisque rien, au sein de cette industrie, n’est réel.

Qu’est-ce que la normalité en psychiatrie ? D’être un zombie sans émotions

La seule façon d’être “normal” après avoir été “diagnostiqué” par un psychiatre – un processus qui est complètement subjectif, et complètement dénué de raisonnement scientifique – est de ne montrer absolument aucune émotion, et de n’avoir aucun comportement.

Une personne dans le coma est une personne “normale”, selon le DSM, parce qu’ils ne montrent pas de symptômes qui pourraient indiquer la présence de choses horribles, autrement appelées émotions ou comportements.

Une personne au cimetière est une personne “normale”, selon la psychiatrie, surtout parce que les morts ne peuvent pas rembourser la Sécurité Sociale, et ne méritent donc pas d’être diagnostiqués ou traités. (Mais si la Sécurité Sociale couvrait également les patients décédés, vous verriez des psychiatres faire la queue dans les cimetières pour proposer des traitements aux cadavres !).

C’est un canular cruel. La psychiatrie devrait être entièrement abolie à l’heure qu’il est, et tous les enfants sous traitement médicamenteux altérant leur état d’esprit devraient être sauvés, et recevoir une bonne alimentation à la place.

Quand viendra le temps de l’effondrement de l’Amérique, et que la société se relèvera, je vais grandement inciter à l’abolition totale de la “médecine” psychiatrique, si on peut se permettre de la nommer ainsi. Presque toute l’industrie est dirigée par des maniaques fous et assoiffés de pouvoir, qui utilisent leur pouvoir pour victimiser les enfants (et les adultes aussi). Nous n’avons aucunement besoin, dans notre société, d’une discipline psychiatrique distordue qui se base sur des maladies préfabriquées. Toute cette opération doit mettre la clé sous la porte, de façon définitive, ainsi qu’être dissoute et rendue hors-la-loi.

La notion perdue de la normalité

Voici quelques vérités simples qui doivent faire l’objet d’une réaffirmation, une fois que l’industrie pseudo-scientifique de la psychiatrie aura été abolie :

La normalité ne s’atteint pas à travers les traitements médicaux. La normalité n’est pas l’absence d’un panel d’émotions. Vivre implique nécessairement des émotions, des expériences et des comportements qui, de temps en temps, s’écartent des sentiers battus. Ceci ne veut pas dire que les gens ont des “troubles mentaux”. Ceci veut seulement dire que ce ne sont pas des robots biologiques.

La réponse est la nutrition, et non pas les traitements médicaux.

Pendant que nous y sommes, les carences nutritionnelles sont la cause principale de presque toutes les “maladies mentales”. Le déséquilibre dans le taux de sucre provoque des dérèglements cérébraux, parce que le cerveau carbure principalement au sucre. Les carences en zinc, en sélénium, en chrome, en magnésium et en autres éléments, provoquent des déséquilibres qui résultent en d’apparentes émotions et comportements “sauvages”.

Presque tous ceux qui ont été diagnostiqués avec un trouble mental dans notre monde moderne, souffrent en fait de carences nutritionnelles, c’est tout. Il y a trop de transformations, de malbouffe empoisonnée, et pas assez de super aliments sains et nutritifs. Parfois, certaines personnes sont également atteintes d’empoisonnement par métaux lourds à cause des vaccins (notamment l’aluminium et le mercure), ou à cause de la toxicité de la nourriture (le mercure dans le poisson, le cadmium, l’arsenic, etc.), ou encore des cigarettes. Les carences en vitamine D sont bien trop étendues, surtout au Royaume-Uni et au Canada, où les rayons du soleil filtrent bien moins qu’ailleurs.

Mais la raison pour laquelle la nutrition n’est jamais mise en avant comme étant la solution aux troubles et maladies mentaux, est que l’industrie pharmaceutique ne se fait de l’argent qu’en vendant des “traitements” chimiques pour des maladies au nom technique et complexe, qui leur donne une lueur de réalité.

Si la nourriture et les supplémentes nutritionnels peuvent vous garder en bonne santé – et croyez-moi, c’est le cas ! -, alors qui aurait besoin de médicaments hors de prix ? Qui aurait besoin de consultations psychiatriques hors de prix ? Qui aurait besoin de médecins ? Ou de la Sécurité Sociale ?

Personne n’a besoin d’eux ! C’est la vérité simple et évidente : notre société serait bien plus heureuse, en bien meilleure santé, et bien plus productive si les industries pharmaceutique et psychiatrique disparaissaient du jour au lendemain.

Avec le DSM-5, la psychiatrie moderne est devenue une risée, tel un arroseur arrosé. Ce qui était autrefois considéré comme ayant possiblement une base scientifique est maintenant vue comme étant une pseudo-science risible.

Le domaine de la psychiatrie semble à présent être devenu complètement dingue. Et c’est peut-être le premier diagnostic sérieux jamais effectué par ce groupement de scientifiques.

Vous aussi, inventez vos propres maladies fictives

Grâce à ce générateur de noms de maladies (en anglais), vous pouvez vous aussi, dès à présent, inventer vos propres noms de maladies à consonance scientifique, avec leurs symptômes propres. Et tout cela, sans même avoir fait d’études de médecine !

Merveilleux, n’est-ce pas ?

Amour et Gratitude,

Par Valentin SterckmanChercheursDeVérités

Références : Natural News

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Date de dernière mise à jour : 18/11/2019

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