DEVRAIT ETRE MEDITEE PLUTOT QUE LUE - 6

CHRIST REVIENT – IL DIT SA VERITE - LETTRE 2 – 6

Mes disciples me rejoignirent un instant plus tard. En entrant dans la ville, ils parlèrent aux gens et ordonnèrent aux foules qui se rassemblaient de se rendre vers un terrain en pente qui se trouvait derrières les habitations.

Debout sur un grand rocher au milieu d’eux, je commençai à parler.

Je découvris que, tout à la fois, passion et joie – aspiration, désir ardent et conviction se répandaient spontanément dans les paroles que je leur adressais.

-Vous êtes cruellement éprouvés et las. Vos charges s’accumulent avec l’âge, vous avez souvent le ventre vide, vos habits s’usent jusqu’à la corde, les gens vous irritent  et il vous semble que vos tourments et votre abattement n’ont pas de fin.

-Mais ce n’est pas la vérité concernant votre existence. Votre vie était censée être très différente. Si seulement vous pouviez voir au-delà de vos sentiments – si seulement vous pouviez élever votre esprit pour vous relier au « Père » en vous, vous seriez capables de « voir » et de « savoir » ce que devrait être votre existence. Vous réaliseriez que vous avez été créés pour jouir de l’abondance, de protection, d’une bonne santé et du bonheur.

-Mais comme vous vivez quotidiennement dans la crainte du « bien et du mal » et que vous croyez et escomptez que cela va vous arriver – plus que vous ne croyez que le « Père » est VIE et AMOUR en abondance en vous, vous accordant tout ce dont vous avez besoin pour votre santé et votre bien-être –ce sont les expériences « du bien et du mal » que vous craignez le plus que vous attirez dans votre vie et votre corps. Vos croyances en « le bien et le mal » obscurcissent – RECOUVRENT – tout ce que le « Père » vous réserve si seulement vous pouvez croire en « l’AMOUR du Père » !

-Vous jugez votre présent et vous attendez de vos lendemains ce que vous avez expérimenté dans le passé. C’est pourquoi vos tourments passés se perpétuent dans le futur.

-Vous êtes esclaves de vos souvenirs et de votre croyance inébranlable que ce qui fut doit être encore et encore pour vous tourmenter et vous faire du mal.

Il ne vous est pas nécessaire de guérir votre corps ou de rendre votre vie meilleure, il vous faut guérir de vos croyances

-Je vous ai dit qu’il n’y a rien de solide sous le soleil.

-Si vous pouvez guérir de vos croyances, les aligner sur la véritable intention du « Père » à votre égard, les fausses croyances gouvernant votre corps et votre vie se dissiperaient comme brouillard au soleil.

-Votre vie retournerait immédiatement à l’Intention Divine sous-jacente à toute création.

-Vous découvririez que pour chaque difficulté, pour toute carence, de quelque sorte qu’elle soit, il existe toujours un moyen de faire cesser la difficulté ; votre panier se remplirait toujours pour répondre à votre besoin.

-Que pensez-vous qu’il advient lorsque les malades viennent à moi et que je leur impose les mains ?

-Croyez-vous que je pense à la maladie et me demande si la personne va guérir, suis-je dans la crainte que le « Père » dorme ou soit si loin qu’il ne m’entende pas ?

-Non, si telles étaient mes pensées d’incrédulité, il n’y aurait aucune guérison.

-Lorsqu’une personne me demande de la guérir, je me réjouis immédiatement parce que je sais que la Puissance qui est le « Père » est en moi, prête et attendant, pour guérir, que je le demande. Je rends grâce parce que je sais que la Volonté du « Père » est santé, et non maladie. Ainsi, je prie que la Volonté du « Père » s’accomplisse dans le malade. Pendant que j’enlève la croyance en la maladie du corps du malade et que je SAIS que la « Volonté de santé du Père » s’écoule dans son système, il en va de même de son apparence – l’apparence de maladie se transforme en réalité de « Santé Père » et le corps redevient intègre.

-La maladie n’est rien d’autre qu’une baisse de la vitalité – une réduction de la VIE – dans la partie affectée. Restaurez la « Vie Père » dans la véritable Intention et dans le Plan de votre système, et tout le système fonctionne comme il le devrait.

-On vous dit que Dieu envoie des maladies, des plaies, la famine, la destruction aux nations qui ne respectent pas ses lois, on vous dit que vous êtes punis par un Dieu courroucé pour les péchés que vous commettez. Mais qu’est-ce que la punition, si ce n’est faire le mal sous le déguisement de la bonté ? Je vous dis que le mal ne vient pas de Dieu. Comment Dieu pourrait-il se partager en deux – le bien et le mal ?

-Ce n’est que dans votre esprit que vous concevez le bien et le mal, ce n’est que dans votre cœur que vous le pensez et le sentez. Ces pensées et ces sentiments n’ont rien à voir avec le véritable Dieu qui est le « Père » en vous, vous apportant toute bonne chose si seulement vous voulez croire qu’il en est ainsi.

-C’est votre croyance en le bien et le mal, et le bien et le mal qui résident dans votre cœur, qui vous apportent vos maladies.

-En réalité, vous vivez dans le Royaume des Cieux et le Royaume des Cieux est en vous, et vous êtes gouverné par le « Père », mais parce que vous croyez aux punitions de Dieu, parce que vous croyez que seuls des sacrifices dans le Temple vous sauveront, parce que vous croyez que vous êtes les héritiers de la maladie, de la pauvreté et de la misère, vous créez, avec votre esprit, les choses mêmes que vous ne voulez pas.

-Ne soyez pas abattus – réjouissez-vous et soyez heureux et sachez que ceux qui vivent dans le besoin, loin d’être punis et abandonnés de Dieu, même sils ont péché, sont véritablement bénis.

-L’homme qui ne possède rien est riche de la Puissance du « Père », si seulement il L’écoute, Lui fait confiance et vit en Lui.

-Car lorsque vous avez le ventre plein, que votre corps connaît le bien-être et que vous avez l’esprit et le cœur en paix, vous n’avez absolument pas besoin à ce moment que le « Père » devienne actif en vous pour satisfaire vos besoins. Vous croyez que vos propres pensées et vos mains satisfont aisément à vos besoins, de sorte que quand vous parlez de Dieu, vous ne pouvez parler que de ce que vous avez entendu dire par d’autres – vous, vous-même, n’avez aucune expérience directe de Dieu.

-Voyez les riches, ils s’attachent, sombres et s’enlisent dans leurs propres richesses. Ils se lèvent le matin et vont à leur labeur quotidien sans rien savoir de la Puissance du « Père » en eux. Ils pensent à ce qui accroîtra leurs richesses, à ce qui pourra renforcer leur « moi » ; ils donnent des ordres qui surchargent ceux qui les servent, ils vivent leur vie conformément à leur propre choix. Ainsi, parce qu’ils puisent en leur vie limitée dans leur seule pensée humaine limitée qui émane de leur esprit et leur cœur physique, ils tombent malades et vivent autant de misère que l’homme qui ne possède rien. Ils ne réalisent pas qu’ils ne vivent qu’à moitié parce qu’ils ne sont pas au contact avec la SOURCE DE LA VIE, le « Père » en eux ; ni ne voient jamais que tout le bien qui est venu dans leur vie n’est pas de leur invention, mais L’ŒUVRE D’AMOUR du « Père » cachée en eux.

-Les dirigeants spirituels sont à l’aise dans leur confort et leur position d’autorité. Ils n’ont besoin de rien de plus que leur propre satisfaction physique. Parce qu’ils n’ont pas de connaissance personnelle de Dieu, Ils doivent lire, dans leurs Livres Sacrés, les paroles de saints prononcées il y a mille ans et ils disent au peuple ce qu’ils pensent que ces paroles signifient.

-Mais tout ce qu’ils disent est tiré de leur petit esprit emprisonné dans le confort de leur vie et se perd dans l’attente de ce qu’ils mangeront et boiront et des vêtements dont ils se pareront pour impressionner les gens. Ils ne savent rien de l’inspiration qui adonné naissance aux paroles prononcées par les prophètes tous ces siècles passés ; ni ne savent si ces paroles sont ce que vus avez besoin d’entendre en ce moment car les temps ont changé.

-Croyez-moi, les riches et les dirigeants religieux sont très versés dans les choses terrestres et ne veulent pas déroger à ce qu’ils considèrent être sûr et éternel dans leurs traditions et leurs pratiques.

Toute déviation secouera les fondations de leurs croyances et par conséquent de leur vie, et c’est ainsi qu’ils construisent des défenses mentales contre l’influx de la Puissance du « Père ». Eux aussi tombent malades et, à leur manière connaissent la misère comme vous qui ne connaissez pas le confort terrestre.

-Il n’y a pas de différence entre vous qui possédez peu dans la vie, et ceux qui ont tout, car les riches et les pauvres confondus tombent malades, se font des ennemis, se retrouvent seuls.

-Mais votre potentiel est énorme pour acquérir davantage que ne pourront jamais espérer acquérir les religieux et les riches, en santé, bonheur, amitié, réalisation de la vie que vous avez choisie. Et lorsque tout sera accompli, vous saurez que les opportunités, la capacité, l’inspiration seront toutes venues du « Père » en vous, parce que vous saurez que vous n’auriez jamais pu faire de telles choses si vous n’aviez pas demandé au « Père » en vous de vous aider à utiliser tous vos talents, de remplir vos assiette de nourriture, de vous mettre des habits sur le dos et d’assurer le bonheur et une belle vie à vos enfants.

-Toutes ces choses, le « Père » les fera pour vous, si seulement vous demandez – et croyez – et savez – et vous rappelez en tous temps – que c’est la « Nature du Père » de créer puis de pourvoir abondamment aux besoins de toute Sa création.

-Tout comme vous ne priveriez pas volontairement vos enfants des choses dont ils ont besoin, ainsi votre « Père » ne vous prive jamais volontairement de tout ce dont vous avez besoin pour que votre vie soit heureuse. Si vous êtes pauvre, c’est parce que vous n’avez pas encore compris la nature du « Père » ; ni compris que vous decez travailler avec le « père » pour subvenir à vos besoins. Vous devez saisir immédiatement les occasions divines qui vous sont présentées pour vous aider à avancer.

-Si seulement je pouvais vous montrer et vous faire voir et croire que quand vous vous lamentez, votre tristesse est connue du « Père ». En temps voulu, votre tristesse se changera en joie, si seulement vous vous tournez vers le « Père » et observez le travail qu’accomplit « l’Amour Père » en vous. Vous découvririez un confort qui dépasse tout ce que vous pensiez possible.

-Que vous êtes bienheureux si vous êtes affamés et assoiffés, car vos besoins sont connus du « Père ». Ces besoins seront satisfaits si vous cessez de gémir et commencez à prier le « Père » et lui demander – en croyant que vous recevrez.

-Comment pouvez-vous croire que pour manger et être habillé comme il se doit, il faut d’abord vous rendre au Temple et brûler des offrandes provenant des créatures vivantes même du Père pour qu’elles paient pour vos péchés ? Ne voyez-vous pas que les créatures vivantes que vous brûlez ont été créées pour jouir de la vie aussi bien que vous-mêmes avez été créés pour jouir de la vie ? Elles ont été créées pour être une bénédiction et bénies sur cette terre tout comme vous êtes nés pour être une bénédiction et bénis, car c’est la nature de « l’Amour Père » révélée dans Sa création.

-Si vous vous rappelez que « ce que vous croyez sincèrement » est ce que vous recevez, ne voyez-vous pas que cette croyance juive des sacrifices de créatures vivantes dans le Temple ne vous apportera rien d’autre que de la misère ?

-Croyez en la punition et la punition sera ce que vous recevrez. Croyez que le fait de tuer et de détruire est le moyen d’atteindre Dieu et c’est ce que vous vivrez – massacre et destruction.

- Si vous avez faim et soif, c’est parce que vous vous détournez du « Père » qui est en vous.

-En cédant à des pensées effrayantes, à l’anxiété et à des sentiments de désespoir, vous créez les conditions mêmes que vous désirez changer. C’est à vous-mêmes que vous faites ces mauvaises choses.

-Par conséquent, vous êtes encore plus bénis lorsque vous avez faim et soif de bonté et de contact avec le « Père » en vous, parce qu’alors, vous en serez  sûrement remplis cent fois.

-Bienheureux serez-vous quand vous serez attaqués et volés, parce qu’en vous tenant dans une parfaite confiance, vous verrez « Dieu-en-action » et verrez se produire la délivrance.

-Bienheureux serez-vous quand vous serez pris dans un conflit et pourrez tout de même avoir de la sollicitude pour votre prochain et être pacificateur. Vous portez en votre cœur l’amour qui vient du « Père » et vous êtes vraiment un enfant du « Père ».

-Bienheureux serez-vous lorsque vous aurez été profondément lésés par autrui, mais pourrez pardonner et montrer de la miséricorde, vous abstenir de demander justice ou les moyens de la persécuter. Vous vous mettrez en harmonie avec l’amour qui est « Dieu-actif-en-vous » et c’est ainsi même que vous serez épargné dans les temps agités.

Les plus bénis de tous sont les purs de cœur, car ils seront débarrassés de toute colère, haine, vindicte, méchanceté, envie, sécheresse de cœur -  et se tiennent devant le monde comme de l’Amour rendu visible. Ils connaîtront la Réalité appelée « Dieu » et ils connaîtront que la Réalité est le « Père » en eux.

DEMAIN LA SUITE DE LETTRE 2 - 7

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Date de dernière mise à jour : 28/10/2020

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